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21 janvier 2016 4 21 /01 /janvier /2016 00:57


Pause, faut que je ferme ma gueule un peu de temps .



Ferme les yeux et écoute le ciel, comprends sa haine, sa rage et sa douleur, entend le crier les mots qui blessent, qui prennent ton coeur à l'amende et brûle l'intérieur de tes tripes, te prend à la gorge, t'arrête quelques secondes la respiration. Entends le hurler la perte de cette chose, cet être, cette étoile, cette simple étoile sur un million de million de milliard, comprends simplement pourquoi, même s'il en existe des millions, que peut être celle ci est mal en point, un peu moins brillante, tout simplement moins belle, moins souriante, comprends que des fois une seule peut faire la différence.



Le Petit Prince a dit :
<< " Si quelqu'un aime une fleur qui n'existe qu'à un exemplaire dans les millions et les millions d'étoiles, ça suffis pour qu'il soit heureux quand il les regarde. Il se dit : " Ma fleur est là quelque part ... "
Mais si le mouton mange la fleur, c'est pour lui comme si, brusquement, toutes les étoiles s'éteignaient ! Et ce n'est pas important ça ! "
Il ne put rien dire de plus. Il éclata brusquement en sanglots. La nuit était tombé. J'avais lâché mes outils? Je me moquais bien de mon marteau, de mon boulon, de la soif et de la mort. Il y'avait, sur une étoile, une planète, la mienne, la Terre, un petit Prince à consoler ! Je le pris dans mes bras. Je le berçai. Je lui disais : " La fleur que tu aimes n'est pas en danger ... [ ... ] " Je ne savais pas trop quoi dire. Je me sentais très maladroit. Je ne savais comment l'atteindre, où le rejoindre... C'est tellement mystérieux, le pays des larmes ! " >>

Antoine de Saint Exupéry

21.01.2010





Hs passager : Arrêtez de prendre tout ce que j'écris à la lettre, je ne suis pas un dieu, pas non plus quelqu'un avec la science infuse, arrêtez de penser que ce que j'écris ici est ma vie, que chaque chose que j'écris ou pense y est inscrit, arrêtez de penser que c'est un journal, ici, c'est du bordel, rien que ça.

Je rappelle de que l'en tête de ce Nuage est simple et visible pour tous : " [ Ma vie, ou du moins sous forme de mots. ] [ Eminem ] "

Foutaise,
Ici, y'a que des conneries & en aucun cas ma vie. "

& Par pitié, une dernière chose, arrêtez la compassion inutile, je parle pas forcément pour moi, je commence vraiment à en avoir mal des gens qui changent aussi, si vous avez des principes, arrêtez de les changer toutes les deux minutes, et suivez les de temps a autre.

22.01.2010

 

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11 janvier 2016 1 11 /01 /janvier /2016 00:15

Comme a dit un jour quelqu'un : " Si il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème. "


 

14.01.10





Le méli mélodrame de la carotte :

 

La carotte, on va faire simple, comme d'hab, pour commencer et histoire que vos petits cerveaux comprennent, c'est pas le légumes à proprement parler, qui sois disant rend aimable ( j'ai dû zaper les repas ou y'en avais en passant ), on va faire simple et donc dire que oui, à la base c'est un légume ( la définition d'ailleurs est plutôt pas mal, j'vous la mets histoire de rire : " La carotte (Daucus carota) est une plante bisannuelle de la famille des apiacées (anciennement ombellifères), largement cultivée pour sa racine ... " ) autrement dit, un légume, donc, on s'en fou.

Allez, pour le fun, j'vous met même une image, histoire d'être vraiment sur que vous avez compris :

                                      

la_carotte_by_toffeetje.jpg


Alors voilà, la carotte comme ça, pour que vous ayez bien compris, j'en ai rien à cirer.


Moi j'veux vous parler de l'autre carotte, celle qui fait avancer l'âne, qui aurait plutôt pour image celle là :

                                                         
AneCarotte.gif            

Et pour cause, on est tous plus ou moins des ânes en fin de compte, si on écoute les gens, on remarque pour chaque choses qu'ils font, ils le font car ils sont obligé, et les choses qu'ils font par plaisir, sont vraiment pitoyable par rapport à la quantité de celle qu'ils font par obligation, après, la carotte elle change suivant les gens, pour certains ( beaucoup d'ailleurs ), la carotte c'est la peur du pouvoir, ou de ce qui pourrait nous arriver dans un futur proche, prenons un de mes exemples préférés, celui qui bosse ( et oui, on devra tous plus ou moins bosser un jour, j'vous jure ), pour quelqu'un qui apprend, simple, la carotte de la note, le fait qu'un 0 peut tuer environ 10 ans d'études passer a travailler d'arrache pied pour un diplôme inutile ( si si, un seul ça suffit ), alors c'est simple, on bosse, on fait ses devoirs et au moment ou ne vous dis pas que ça ne sera pas noté, on bacle, c'est crade, c'est brouillon, et mal fait, la quête de la carotte qui te fais avancer, magnifique. Ensuite, la carotte de celui ( ou celle bien entendu ) qui travaille, elle varie un peu celle là, y'en a deux, celle qui fait que tu te donne à fond car tu espères secrètement que l'on t'accordera une promotion pour un travail brillant, ou alors l'autre carotte, qui te dis : " Bosses le moins possible, mais un peu quand même, histoire de rester le cul au chaud sur ton super fauteuil de branleur de première, la bière à ta main ", alors tu bosses, pour les apparences, une page wikipédia ouvert devant les yeux, un sujet dont t'en a rien a faire mais c'est pour " t'instruire " comme tu dis, une pile de dossier sur ton bureaux, aucun n'est fait, mais tu es super occupé à jouer au solitaire ou démineur, jeux où tu as sûrement dû battre le record mondial depuis le temps. C'est un moment assez bizarre ou tu apprends qu'on peut s'occuper une journée entière avec une trombone et un tube de colle. Après les carottes pour le travail, on va passer aux sociales, celles qui font que tu souris comme un con quand tu croises ton boss, que tu ne manques aucuns de ses déjeuners alors que jusqu'au plus profond de ton être, tu désapprouves ses méthodes et que tu le hais, dans chaque cellules de ta peau, mais voilà, faut les apparences. Tu sors de temps en temps de chez toi, alors que tu aimerais que non, juste car ça se fait pas de pas sortir pendant deux mois de vacances d'été. La carotte sociale, c'est la politesse, c'est être aimable, c'est dire des choses qui ne choque pas et rentrer dans un moule parfait créé par la société qui nous entoure. Viens ensuite la carotte financière, et oui, sans argent, rien, toujours problème de la société, il faut de l'argent pour vivre ( et oui, malheureusement, d'eau fraîche et de Soleil, ça marche pas encore ), donc pour manger, avoir un toit ou quelque chose qui y ressemble peut être appréciable aussi, donc un peu de sous encore, après des vêtements pour pouvoir sortir de son " chez sois ", ça peut être pas mal non plus, et il faut, même si personne ne l'admettra, de l'argent pour l'amour, je sais, moi non plus j'aime pas l'idée, mais voilà, aimer quelqu'un dans l'idée, ça ne coûte rien, certes, mais après, pour pouvoir avoir des projets, un avenir, il faut toujours un peu de finance derrière. Y'a aussi la carotte de la vie tout simplement, celle qui te pousse à chaque secondes lutter contre ce qui te dépasse, mais celle là est trop bizarre pour en parler, en revanche, y'a celle de la santé, voilà, t'es malade, tu pourrais ne rien prendre comme médicament, et tu dires que c'est la vie, avec de la chance, tu vas pas mourir ( j'vous parle pas d'un rhum ou d'une grippe hein ), alors voilà, malgré ça non, tu vas te soigner, tu iras sûrement même jusqu'à l'acharnement thérapeutique, on va dire que c'est en quelque sorte l'instinct de survie, alors bon, on va rien dire. Allez, pourquoi pas aussi tiens, j'allais l'oublier, la carotte du désir, celle qui te pousse à t'approcher des gens qui t'attirent, et de peut être plus tard, assouvir ces désirs, quel qu'ils soient, une caresse, un câlin, un baiser, une partie de scrable sous la neige, manger des sushis, n'importe quoi, juste des désirs. Puis vient la dernière ( j'ai dû en oublier des tonnes en fait ), celle des envies, plutôt simpliste comme carotte, pas trop méchante, elle va pas te tuer si tu veux pas la suivre, juste celle des envie, celle qui te demande de temps en temps, ça te dis pas de faire telle chose, ou telle autre, ça te tente pas, ce soir, de passer un cd calme pour changer, d'allumer une deux bougies pour faire clamser l'éclairage bien trop lumineux de ta lampe pourrie, tu t'allonges deux minutes sur ton lit, il est pas fait, ta chambre ressemble plus à une porcherie qu'une pièce vivable pour l'humain, tu fais le vide, juste voilà, l'envie, le cd se finit, ta vie reprends son cours habituel, mais tu te sens mieux, quand tu acceptes de suivre cette carotte, sans te soucier des causes, ni des conséquences, tu es content, heureux, tu sais pas trop pourquoi, mais tu es apaisé, tu te sens juste, plus léger, c'est sur celle ci que je m'arrête, il fait nuit dehors, le givre recouvre peut à peut les brins d'herbe sous la lune brillante, on croirait voir un matelas d'herbe synthétique. Je me suis presque calmé, j'avais besoin de quelqu'un, mais perdu dans ce vaste océan qu'on appelle le besoin, que cette personne sache que je suis là, ça me suffis pour me rendre heureux, disons cela comme ça, puisque d'autre mots seraient inutile.


Bonne nuitée les gens, j'vous aime.



" Il est si facile de réveiller quelqu'un, mais parfois si dur, de le faire qu'il dorme denouveau comme une bébé "
Pigeon Idiot


11.01.2009

 

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10 janvier 2016 7 10 /01 /janvier /2016 18:49

" Sa liqueur avait un goût de terre et de sureau, ainsi que la couleur du surplis des pénitents. Pas mauvaise en somme, propre à rendre le plus désespéré d'entre nous l'illusion que le lendemain, à défaut d'être meilleur, ne serait en tout cas pas pire que la veille. "

Quelques-uns des cent regrets – Philippe Claudel

 

      " Il n'y a pas de grande réalisation qui n'est d'abord était utopie. "

 

 

Pasqu'on me l'a demandé :

 

ACWL / Indochine - Quand viendra l'heure

 

 

Et pasqu'on me l'a pas demandé :

 

Gerlando Infuso - Margot

 

 

" Il faut tuer les violonistes ... Parce que ?

- La batte de baseball est juste à coté ? " 

Néko

 

 

 

Elle était genoux à terre, accroupie, elle s'agrippait comme elle pouvait aux draps qui glissait sous sa peau qui semblait un peu rougeâtre. Une sorte de gloss rose d'où se dégageait un parfum bien trop sucré que pour être agréable était déposé, ou plutôt tartiné sur ses lèvres comme pour quintupler leur volume déjà bien trop proéminent. Du mascara noir bleuté était étalé comme des petits pattés de sable mouillés, une larme semblait s'enliser sur ses joues, son teint de poupée un peu rose avait viré au blanc translucide, ses vêtements ressemblaient à des haillons trouées , ses talons qu'elle n'avait pas eu le temps d'enlever, dépassaient du lit et laissaient de nombreux points concentriques de plastique noir sur le mur de papier peint. La petite poupée sage s'était réveillée, naissance d'une noirceur à l'âme.

C'était salement romantique.

 

 

J'ai vu des étincelles - Whiskey Boulevard

" Crois tu vraiment que tu tire les ficelles ? "

 

_numero_23___Fleurs_de_sureau_by_MissUmlaut.jpg

 

 

03.01.2011 & le reste.

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4 janvier 2016 1 04 /01 /janvier /2016 18:30

I er Partie

Allongé, sur un lit, un simple lit, pas de tête, pas un baldaquin, pas non plus un simple futon, un lit, long, mais lit, des draps en satin beige luisant qui glissent sous une main innocente, un parfum un peu sucré qui traîne par ici ou là, une sensation agréable, une chaleur, malgré la fraîcheur qui règne, un sensation étrange, un sentiment étrange, une sorte de quiétude mais en même temps de sérénité.
A la main encore une bouteille de Manzana à la Pomme dosé à vingt pour cent, rien de bien méchant, juste de quoi faire que le sang ne se gèle pas, et l'éther circule dans les veines, il en remplacerait même presque le sang.
Les yeux fermés, à peine plus que mis clos, on peut encore entrevoir un bout de rétine, mais immobile, des images qui défilent comme un film... Est ce la fin ? Non, on dirait plutôt que c'est un commencement.
Des sourires viennent se placer, des souvenirs, des visages, des paroles, des personnes, des objets, tout flotte en quelque sorte autour de toi . Qu'il est bon de temps en temps de s'abandonner à rêver, qu'il est bon de s'offrir cette liberté.

Puis tout s'efface, en un instant, tout s'évapore, disparait en une seconde, dans un amas de fumé trouble, tout devient flou et juste s'efface, comme tout est arrivé, on ressent une présence, mais elle nous apaise, qu'importe l'auteur, on a besoin d'elle.
Allongé sur le lit, elle se rapproche, elle entoure ton corps de ses bras, elle te réchauffe de l'intérieure et l'extérieur en même temps...
Lentement, tu sens quelque chose s'approcher de toi, puis tu ressens un baiser, un doux baiser qui s'accroche à ta joue, puis comme si il coulait, il descend sur ta clavicule, le cou, le chemisier se déboutonne, mais doucement, très lentement, comme si c'était un geste méticuleux et que ta vie en dépendait, tu ressens cette chaleur qui te brûle de l'intérieur, elle te prend d'abord comme un pincement au coeur, c'est comme un peu un viol de ton intimité, c'est désagréable, mais cette présence nous rassure, comme si elle te chuchoté que tout va bien, c'est comme un ange qui serait là pour toi, mais un ange pas si catholique que ça en fin de compte. Puis quelque chose de chaud vient se poser sur ton torse, peut être un autre baiser, qui descendrait le long du corps, qui l'a perdu... ? L'auteur en est inconnu. La douceur se fait reine, pourquoi tant de mystère ?
Tout ce trouble, un peu comme s'il manquait des morceaux, que se passe t il ? Rien d'important.
La fraîcheur s'empare de ton ventre maintenant laisser à la fraîcheur de la pièce, mais quelque chose de brûlant vient se coller contre ta peau, ça brûle, c'est agréable, très agréable, après ce petit courant d'air qui fait se dresser sur ta peau ce qu'on appelle grossièrement la ' chair de poule ', la chaleur vient balayer cette vague de froid, la chaleur de la chair, la chaleur de la sienne.
Puis la douceur fait place à une autre reine, la charnelle, un violent frisson te parcours le corps, des crocs viennent de se planter dans le lobe de l'oreille, ils descendent le long de ton cou, t'arrache des sensations très différentes de celle des baisers, la chaleur entre de nouveau dans ton corps, tu en viendrais presque à regretter la dictature de la douceur, mais voilà que maintenant, par un jeu très finement manié, tes lèvres se font attaquer, pourquoi tant de haine après tout... L'envie peut être ? Une attaque endiablé, une sorte de frénésie, tes lèvres, ta langue, tout, comme si on te volait ce qui t'appartiens, et toujours ces crocs qui t'attaquent... La chaleur entre dans ton corps plus violemment encore, tu es pris d'un brasier, ton corps brûle, tu brûle, tout autour de toi est devenu brûlant, l'incendie corporel. De fines gouttelettes vont se perdre sur les draps, l'odeur si sucré devient plus prononcé, la peau te brûle, ton corps s'enflamme libérant une odeur plus forte, recouvrant la précédente, la peau de ton dos glisse sur le satin, tes mains se baladent sur ce corps qui est le siens, elles passent, tel des coups de vents, effleure sa peau, elle est chaude, douce, elle sent la guimauve, sucré, un bonbon, alors voilà, tu veux le croquer. Ta main frôle ses cheveux, puis s'y jettent à corps perdu, tu t'accroches à son cou, lui dépose des baisers, tes crocs aussi ressortent, tu ne peux les retenir, et doucement au début, vont se planter dans sa jugulaire, tu la croque, comme un pomme, mais bien vite ce n'est plus si doucement que ça, tu t'attaques à son oreille, son épaules, ses lèvres, leurs goût est aussi sucré, de la guimauve oui, c'est ça, de la guimauve. Tes mains s'accrochent le long de son dos, tes oncles griffent cette chair brûlante, son souffle chaud et sa respiration saccadée se fait sentir dans ton cou, ton corps vibre contre le siens, tes mains glissent, la caressent, tout entière, doucement, elles redescende le long de son dos où l'on voit apparaître déjà quelques traces rouges, elles longent les côtes, les chatouillent à peine, descendent sur le ventre, veulent y rester un peu mais non, elle remontent en dessous de ce qui reste du chemisier déjà détaché, caressent timidement en remontant le long d'une dentelle noir, elles en font le tour avec une certaine agilité et une sorte de jeu provocateur, et libère de cette prison de tissu ces habitants. Elles se baladent, tel des promeneuses, s'attardent à certains endroit, on croirait entendre au loin une complainte à certains moments, quand elles décident de s'arrêter un peu trop longtemps ou qu'elles prennent un mauvais chemin. Elles redescendent le long de ce chemin, avec peut être un peu de fougue se permettent de passer sous l'élastique puis se font rattraper par sa main, puis non, finalement passe quand sous ce jean, bien trop serrer à leurs goût, on voit d'ailleurs d'avance le bouton de ce dernier sauter, mais qu'importe, la chose la plus importante y est, l'essentiel, la tendresse, un seul mot, tendresse, le respect de ce corps sur lequel elles se baladent, le respect et la tendresse. La sensation inattendu au moment ou elles frôlent cette autre matière, une sorte un peu inconnu, inhabituelle, de la dentelle peut être, ici aussi, puis c'est comme si il y'avait une douce musique, entraînante, le mouvement s'accélère, comme si on avait plus le temps, comme si la fatigue allez prendre le dessus, on ne veut pas gaspiller ses forces et mourir si prêt du but, on est là, peut être que tout ce meurt, mais non, une passion nous anime, on se demande même si elle peut être stopper... Que faire ?
Réveil.


II eme Partie.

Allongé sur un lit, un grand lit, mais un lit très simple, pas des frou frou partout, juste un lit, de beaux draps, et dessus, un corps, presque inerte, presque mort, un corps.
Le rêve, la mort de la réalité, l'extase par définition, la mort du réel, l'entrée dans l'imaginaire .
Il rêvait.
Je voyais déjà à travers de sa chemise blanche son corps gelé, je voyais presque au travers de lui, livide, comme s'il était fantôme, il était là, dans cette chambre, sur ce lit, allongé. Sous lui des draps en satin beige, il est étendu de tout son long, dans un lit bien trop petit, il tient à peine en diagonale, quelle idée d'être aussi grand, on en a jamais fait des commes lui avant, ou alors par erreur. Les yeux dans la lune, perdu dans le vide, ou du moins ce qu'on en voit, ils sont à trois quart fermés... Où sont parties ses pensées ? Où se sont elles envolées ? Je m'approche de lui comme si il allait te briser sous mon regard, je m'allonge dans l'infime espace qu'il n'occupe pas dans le lit, et doucement, comme si il était un jeune enfant, l'entoure de mes bras, pour qu'il n'est plus froid. Ses yeux s'entrouvre, il croit sûrement être encore dans son rêve, je lui dépose un baiser, comme à un enfant qui aurait bien fait ses devoirs, un baiser chaste, très lentement, un simple baiser, sur sa joue, il est glacé, comme mort, c'est donc si triste que ça la mort de la réalité ? J'entends son coeur qui bat alors que j'en dépose un autre sur sa clavicule, au moins il n'est pas mort me dis je, c'est déjà ça, mais rêve t il encore ? Je descend lentement et toujours très doucement, en dépose un sur son cou, ma main glisse entre les boutons de son chemisier et tombe sur son corps, sa peau être froide, très froide, j'ai comme un besoin de le réchauffer, il est comme un oiseau tombé du nid, un petit être innoncent, perdu dans l'immense océan des rêves, dans l'océan de la nostalgie et de la mélancolie. Je lui chuchotte au creux de l'oreille d'une voix au ton maternelle que tout vas bien, que je suis là, qu'il n'a rien à craindre... Mais m'entend t il ? Je crois que oui, son coeur s'est arrêté une demie seconde, à peine audible, mais je l'ai entendu... Réveil toi, reviens avec moi. Je lui déboutonne sa chemise, enlève la mienne est me colle contre sa peau, j'espère pouvoir le réchauffer, il est glacé, j'ai l'impression que ce n'est plus du sang qui coule dans ses veines mais de l'azote liquide, j'espère qu'il sait au moins que je suis là... Sa peau est à peine plus chaude, la mienne brûle littéralement, j'essaie de lui donner tout ce que j'ai, mais il ne bouges toujours pas... J'ai peur. Je m'éclispe de sa peau, ça ne sert à rien, il n'est vraiment pas décidé à bouger, je lui mords l'oreille, à la limite de lui arracher, ses poils se dressent, son corps réponds à mon appel, mais toujours il ne bouge pas, je descend dans son cou, j'ai l'impression que son corps se réchauffe petit à petit, mais tellement lentement... Je monte sur lui, ses lèvres sont douces, leurs goût sucré, je ne saurais pas dire ce que c'est exactement, peut être un goût de guimauve... ? Mais aussi quelque chose qui me plait moins, de l'alcool, il sent l'alcool. Si tu as un problème, dis le moi, tu m'entends au moins ? J'ouvre ses lèvres pour entendre le souffle de son corps, à peine... Pourquoi pars tu ? Qu'est ce qui te manquais... ? Son corps devient brulant, ça va mieux ? Pas de réponse... Tu as de la fièvre ? Je vois des goutes se perdre sur le drap, c'est des larmes ? Tu souffres ? Dis moi ce qui ne va pas... La doux parfum de sa peau s'efface peu à peu, une autre odeur vient la masquer, odeur un peu acre, amer, je ne sais pas trop ce que c'est, j'ai peur pour toi, tu te décompose ? Non, pas si vite, ce n'est pas vraiment possible. Son corps se met à trembler, ses yeux sont vides, son teint n'est même plus blanc mais transparent, je peux voir à travers toi presque, que t'arrive t'il, tu fais un cauchemar ? Je t'en supplie, réveil toi, réveil toi, sa respiration se fait saccader, il suffoque, mais qu'est ce qui t'arrive... Dis moi, juste dis moi ce que je dois faire ? Sa main bouge, je la prends dans la mienne, ne t'inquiètes pas, je suis là, je suis avec toi, je reste là. Puis plus rien, il ne bouges plus, rien, plus aucun signe de vie.
Réveil.


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04-08.01.2009
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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 12:29
Saint Sylvestre, fête de famille, but quelle famille ?


Celle qu'on a choisit on qu'on nous impose ? Autre débat.


Instants courts, ou l'on oublie les préjugés, les ressentis et les rivalités, se laisser juste envahir par l'ambiance présente et l'euphorie du moment, souvent aidé par vin & bon repas, certes.


So, bonne année tout le monde, mon réveillon était des plus agréable, j'espère que le votre de même.




Je laisse ça ici, pour plus d'esplications, même pas en rêve  :



" Délicieuse "

 


" J'peux vous aider pour les champi ? "



" Tu crois vraiment ça marche comme ça ? "

 


& 31.12.2010›01.01.2011



Pink_Delicious_by_DemonMathiel.jpg
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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 03:41

Joyeuse année à tout le monde qui suit plus ou moins ici, bonnes résolutions et pleins de belles chose, j'vous aime les gens .

Pareil encore que les précédents, article automatique, pas vraiment le temps, j'pars à la rache, comme souvent, les illustrations et un peu être texte complémentaire viendra un jour sous une motivation sans précédent .




Joyeux Noël à vous tous, pas besoin de déblatérer plus que ça, vous avez compris .


De très bonne fêtes à vous tous


Vous aime les gens .

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1 janvier 2016 5 01 /01 /janvier /2016 03:17
Et tu es partie ...



17.04.2009






" Cette histoire que je veux vous conter,
C'est celle d'une fille dont la beauté,
De par un regard vous laisse bouche bée
Entendre le son de sa voix, et vous croyez rêver ...
Ca s'est passé une en une belle journée de juillet,
Mes yeux on croisé son corps et ont été charmés
Comment ne pas succomber,
Devant si belle beauté ?
Elle était pourtant simplement habillé
Mais paraissé à la fois si sophistiqué
Son sourire si charmeur
A sut accroché mon coeur
Mal-grès tout cette réaction, plutôt banal,
L'oublier car s'en était presque immorale,
Comment ne pas aimé,
Un être qu'on ne désire que protéger ... ?
A peine nous voilà rencontré
Qu'on s'embarque ensemble pour une soirée
Puis deux, trois, de vrais vacanciers
En Espagne, ensemble pour tout oublier
Des racontages de vie à en trop parler
Des souvenirs qui se prennent à la pelleté,
Des points de vue qui différent
Mais qui se rejoignent dans cette atmosphère
Des films qui tournent en boucle sur un Pc
Et des regards qui se perdent dans l'obscurité ...
Quelques instants plus tard tout n'est qu'une illusion,
On oublie tout et on se pose des millions de questions,
Balade noctune dans les rues de Toulon
On s'barre en pleine nuit mal-grès l'interdiction ...
Puis doucement ça s'arrange,
On parle, on échange
Nos mots se perdent maladroit
Jai cette impression qu'il fait froid ...
Petit à petit, ça s'améliore,
Et ces moments redeviennent d'or .
Puis vient ce moment,
Ou à ma hauteur m'attendant
Tes lèvres me tendant,
Un baiser volé brulant
De tout ces instants,
J'vais juste rappeler quelques moments :
Une soirée un trois janvier
Quelques mots au creux d'une oreille chuchoté
Puis après, on sais ce qui s'est passé
Mais ça, j'préfères l'oublier ...
Puis reviennent les souvenirs à la mer,
L'sable, le voley, ta mère ...
Des paroles qui blaissent
Souvenirs de cette tristesse
Lors de ce moment ou mon regard à croisé le tient ...
J'm'étais dit qu'il valait mieux ça, que c'était bien
Mais comme souvent j'me planté,
Et tu m'as fait ouvrir les yeux et m'a rappelé
" L'amour n'est pas un jeu " que ce que tu foutais ?
A vrai dire, la seule réponse est que je voulais oublier
Car j'suis pas vraiment fière de ce que j'ai fait
A savoir si c'était vraiment une bonne idée ?
Puis il y'a eu ce dimanche sous la Lune,
Le ciel sombre, dans l'air comme dans mon coeur flottait la brûme ...
Que ce que je foutais ?
Même plus je le savais ...
Moi qui disait toujours vouloir avancer,
Dans l'fond, j'faisais que reculer ...
Puis quelqu'un m'a dit que j'était mazzo,
En fait, dans l'fond, c'est exactement le mot ?
Mais bon, laissez tomber,
J'vous demande pas de chercher,
J'lui demande à elle, de vouloir encore de moi
Car elle, je ne l'oublie pas ...
Aujourd'hui tu vois, on est le dix sept
Il est exactement trois heure sept
Et je ressents au fond de mal ce froid,
Ce froid car je sais que tu n'ai pas là ... "
Pigeon Idiot

& Toi seul pourra comprendre, mais " Merci " .






Hs : Mon ordi s'est suicidé .
Tu n'es pas là .
Mm, ça va pas .
K'ro, dur journée .

J'ai le droit de rêver de toi cette nuit là ?
Je veux dormir pour m'évader,
Dormir pour me rappeler ...
Dormir pour oublier que tu n'es pas là ...
Remember ... " La chaleur de ta voix dans le coeur " ...
Remember ... Et comme un con, comme souvent, je pleure .




& Si un ange passe par là, qu'il laisse un mot une trace ...
Qu'il m'écrive sur un bout de papier avec toute grâce,
Que la vie est belle et que bientôt on se revera ...
J'attends juste le moment, ou je pourrais te serrera dans mes bras ...


17.04.2009
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26 décembre 2015 6 26 /12 /décembre /2015 05:36

Combien de personnes ma vie peut elle intéresser ... ?



Faits:


Histoire Fictive même si pas mal de Réel .

Un homme a dit un jour :

" C'est ma vie, ou du moins, sous forme de mots . "

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Je suis venu au monde comme tout le monde, ou presque, au lieu d’avoir un cœur, j’avais un grand vide ...

( C’est comme ça que mon médecin m’a décrit pour la première fois, aujourd’hui, je comprends pourquoi il m’avait dit ça …
Mais je ne veux pas exposer ici les différentes humeur de mon amour si changeant ces derniers temps.
Je vais vous parlez de ma vie, celle qui je pense, vaut le coût d’être raconté … )

 

Je suis donc venu au monde un beau jour de mars, entre" quelques giboulées, ma mère avait parait-il attendu toute la nuit que je daigne bien sortir de son gros ventre tout flasque, la première chose que je fis ne fut pas comme tout les bébés qui naissent …
Je n’ai pas hurlé de toute ma force, non, j’étais silencieux …
Au bout de quelques secondes, j’eu décidé que c’en était trop, j’avais faim .
Je me mis à battre des pieds dans les sens, je ne criais pas normalement, je poussais des petits bruits stridents comme un jeune moineau qui réclamait sa ration quotidienne de vers, un bruit insoutenable pour une oreille normalement constituée, mais moi, personne ne m'entendais .
Au bout d’un petit laps de temps, qui me parut indéfiniment long, la sache femme, elle aussi avec un ventre qui me praut proéminent, me posa sur celui de celle qu'on appel en général "mère ".
Sa peau était rugueuse mais dégagé une chaleur immense, je me sentait protégé sur cette étendu de sable et ces palmiers, si bien que je m’endormis sans même avoir finalement eu mon du, je n’avais rien mangé, et mon ventre criais toujours famine .
A mon réveille, nous étions dans une grande chambre, ou du moins, pour ma taille, elle me parut immense, ma " mère " était toujours dans sa robe blanche d'hopital, la robe qu'on offre généralement à toute personne entrant dans le service, la fameuse robe stérile médical de post opération .
A ma droite se trouvait un homme grand, le dos un peu voûté, mais bizarrement, vouté par sa taille et non par les années qui passe, ou le poid de sa conscience . Il paraissait jeune, il portait un vieux jean troué qui n’allait pas du tout avec sa chemise blanche et sa cravate rouge flachie, je devinais déjà que ces goûts vestimentaire étaient, disons médiocre ou qu'il fut dérangé en pleine réunion, mais vu la joie qu’il avait dans les yeux, je compris vite que c’était mon père, cette figure qui doit vous apprendre la vie, vous expliquer comment faire les bébés, jouer au foot, et vous apprendre que la bière c'est bien, et qu'il faut bosser pour avoir une belle vie, un père quoi .
A sa gauche se trouvait son frère, je l’ai vite deviné, il avait la même tignasse horrible, mais les cheveux encore plus en bataille, quoique, mon père avait plus de cheveux que son frère, celui-ci était aussi un peu moins grand que mon père ( j’appris par la suite que mon père trônais à deux mètres et un centimètre de hauteur le haut de son cerveau, se qui, pour un être humain, est relativement grand, je conçois ), lui aussi portait une chemise blanche, mais bizarrement celle-ci s’accordait plutôt bien avec son hideux pantalon vert kaki délavé ( plus couleur gerbe que kaki pour être honnête ) .
Je tournais ma tête pour voir l’autre côté de la salle, la, se trouvait planté, comme une vieux saule pleureur, moitié vivant, moitié pleurant, ma mamie, non pas que je l’ai reconnu, pensez-vous bien, mais mon père venais de lui dire mes mensurations avec un air de fierté, trente trois ridicule centimètres pour trois kilos trente trois grammes, facile à retenir vous me direz, au moins, une chose qu'on pourra désigné de " bien faite " …
J’étais là, planté, entre toutes ces personnes relativement inconnu à mes yeux, nu . Nu sur le ventre maintenant tout plat de ma " mère ", et je suis là,  je me demande déjà pourquoi, pourquoi moi, qu’avais-je fait pour mériter ça …

 

Les années passèrent, je compris vite que pour survivre dans ce monde il fallait qu’on m’entende, que je cri, proteste, que je gueule, vocifère, hurle, casse des objets, le résultats était le même et au moins rassurant, on s'intéressait à moi .
Deux années déjà passées depuis ce jour, celui ou j’ai vu pour la première fois la lumière du jour, celui ou j’avais enfin sentit non pas la chaleur du corps de ma mère, mais la chaleur de la joie de ses proches qui étaient tous réunis pour ce moment qui leur paraissaient si beau, on appel ça comment déjà ... A oui, " Un événement heureux " .
Je n’avais pourtant que deux ans mais déjà je touchais à tout, je sentais ( à vrai dire « humer » est plus approprié ) déjà de temps en temps la douce odeur que le verre de vin de mon père produisait, non point que l’envie d’en boire me serait venu, mais la douceur, la légèreté et le fruité, mais que ces deux sensation légère soit associé à celle de l'éther, un mariage plus que singulier qui troublait mon esprit ... Ce senteur qui se dégageait me donna déjà une idée de mon métier futur, une ambition autre qu'être astronaute ou pompier .
Je serais « Œnologue » .
Je voyagerais à travers le monde entier pour le seul plaisir d’humer ces senteurs si raffinées .

 

 
A l’âge de six ans, ce fut le moment de vérité, mon père avait organisé ( comme tous pères digne de ce nom ) une petite fête pour mon anniversaire, la fête en elle-même ne m’intéressait guère, mais dans un moment d’inattention de ça part, sûrement trop occupé à surveiller l'ignoble chose qui me servait de soeur,  il avait malencontreusement laissé traîner son verre, je m’en suis rapproché, puis doucement, alors que tout le monde était encore affairé à diverses activités, je m’en suis emparé, comme un trésor, une sorte de chose à la valeur inestimable .
Je suis allé me réfugier dans la cuisine avec une vitesse qui me surpris moi même, là, je fis tourner cette étrange boisson dans son verre aux allures de cristal, puis avec une précaution infini, mes lèvres se rapprochèrent très doucement de la paroit miroitante sous mes yeux . A l’instant précit ou celles-ci touchèrent le vin, le temps parut se ralentir tranquillement mais quand le vin s’engouffra sur ma langue puis de mon palet, là, le temps paru comme s’arrêter complètement, il resta encore quelques interminables secondes dans ma bouche puis descendit le long de ma gorge, ce vin qui était de couleur ambre, une saveur plutôt sèche en bouche, mais à la fois si fruité, amorcé par le goût de l'éther, du vin, un muscat ambré de Rivesalt, cette perfection n’a que renforcé mon premier choix, " J’en ferais mon métier . "
Le temps m'apparut comme immobile, en suspend, le monde devait tourner autour de moi vu les bruits sourds qui parvenait à mes oreilles, j'étais comme un soldat à qui une bombe vient d'exploser à côté de lui, j'avais perdu tout les repères, puis, les personnes se sont mis à défiler devant mes yeux à une vitesse qui me paraissait trop grande, le temps voulait rattraper son retard, enfin, quand il reprit sa vitesse normal, mon père était debout, devant moi, du haut de ses deux mètre un et me regardait, ou plutôt me dévisageait .
Moi, son fils, six ans en ce jour même, de l’alcool à la main, le sien qui puis est, sous ses yeux .
Jamais de ma vie je n’eu le droit à une pire remontrance que celle-ci, des paroles jaillissaient de sa bouche dans une sorte de torrent à n'en plus finir, ces mots, malgrè leurs force, me passais au travers, je restais concentré sur l'ârome si subtil que mon palet avais goûté . Le temps qui me parut indéfiniment long et très indécit .
C’était fini .

 

J’avais aujourd’hui seize ans et des poussières, quelques grosses poussières d’ailleurs, le monde du lycée était à mes pieds, non pas celui de l’apprentissage proprement dit comme l'ont toujours rêvé les parents d'élèves d'une société utoopique, mais celui de l’alcool et de la drogue, ce dernier, bien entendu, ne m’intéressait pas du tout, notament pour les problème moral qu'il me posait .
Se fut avec  beaucoup de stress que le premier vendredi, ce premier ou je me rendis a Match qui se trouvait à quinze minutes du lycée à pieds je choisis une bouteille de rosée Corse ( mon père en parlait toujours à la maison, du fabuleux rosé Corse, plus précisément de l'Île de beauté comme on l'appel, il en parlait souvent, ou du moins, quand il vivait encore avec nous ), puis nous sommes passé à la caisse, par je ne sais quel miracle, la caissière ne nous avait pas demandé notre carte d’identité, qui bien sur, certifié qu’il nous était interdit d’acheter quels qu'alcools qui soit, comme toujours, un ami à moi lui au lieux de prendre quel alcool que se soit, lui, prenait toujours des fraises, banal, j’avoue, je n’en avait jamais vraiment pris le temps d’en goûter une, serre - ce car après chacune de nos escapades, on finissait toujours un peu tous dans les vapes, hormis lui, qui mangeait ses fraises ?
Nous remontions donc vers notre cher et tendre lycée, non pas pour venter nos exploits envers d’autres lycéens complètements défoncés non, juste car juste à côté de ce dernier se trouvait un skate parc, un coin tranquille, à l’abri des regards indiscrets ( notament des maléfiques CPE, créatures terrestre inventés dans le but de téroriser les élèves ), ou l’on pouvait créer des mélanges inimaginables en associant des alcools plus fort les uns que les autres, avec des jus de fruits, sirops, des bonbons, ou toute autre chose sortit de notre subconcient, mais comme dit, ceci, c’était la routine .
Mais un jour, allons savoir pourquoi, j’avais envie de goûter ces fraises, comme il n’est pas dans mon habitude de demander, je déroba lâchement une de ses fraises, puis je croqua dedans, enfin, croquer, vite dis, la consistance était un peu comme de la purée, mais en revanche, le goût d'une infini finesse, sucré, granuleux sur la langue, presque fondant contre le palais, puis après quelque seconde, une idée me traversa l'esprit, j’ajouta du Cointreau, le goût sucré de celui – ci se rajouta à celui de la fraise, puis le mélange du goût de l’orange du Cointreau avec celui de la fraise fit palpiter en moi, des saveurs aussi inconnues et inattendus …
Comme tous ados, je ne passais pas que mes journées à boire, même si cela, prenez la plus grande partie de mon temps, entraînant, comme tout ados qui se respecte, une sorte d'allergie au mots tel que travail, apprendre, réviser et tout les autres de la même catégorie . Je flânais ainsi sur des jeux en ligne style MMORPG (WoW ou Guild Wars) mais j’aimais beaucoup passer aussi sur le site « Vie de Merde », en lisant toutes les histoires de ces pauvres types, je me disais que ma vie n’était pas si terrible que ça en faite…Mais une chose était sur dans ma vie …
J’étais voué à écouter de la musique vingt quatre heure sur vingt quatre, quoique je fasse, qu’importe le lieux, l'heure ou les circonstances, qu’importe le moment, j’avais en permanence dans les oreilles des « bruitage » ( comme disait mon père ), des musiques de tous les styles : Rock, Métal, Ska, Reggæ, Techno, Variété, Classique, Gothique, Slam …
En faite, tous les styles de musiques excepté du R&B, du Rap et autres abominations du genres …
Je considère que l'on ne peut même pas l'appeler musique ...
Ce n’est même plus considérable comme du bruitage, c’est un déferlement de sons et de paroles n'ayant aucun rapport logique entre elles …
Mais dans mes chansons, mon Rock, je ressentais vivre des émotions qui me remplissais petit à petit de quelque chose qu'on appelle ( je l'ai appris plus tard ) " Petit Bonheur " .
Dans ma tête, c'était plus que du son, je ressentais au fond de mon corps, des vibrations étranges, elles formaient des sonoritées et donnaient à mon corps l'envie de bouger, sourire, vivre ...
J'appris plus tard, que l'amour, me procurait cette même sensation, mais sur une échelle bien plus large, et plus attirante .
D’autant que je m’en souvienne, j’ai toujours écouté du Rock, une musique comme " Il " dirait, " par prédilection " .
En parlant de " Il " , il , c'était un ange, enfin, on pourrait plutôt dire, un ange tombé du ciel .
Il se débattait comme il pouvait pour faire que ces ailes repoussent, qu'il puisse enfin retourner d'où il vient, le ciel ...
Mais Dieu en avait décidé autrement, lui, voulait le faire souffrir, il lui a affligé les pires peines, l'avait dépourvue de toute force physique, et l'avait aussi doté d'une coupe qu'on ne pouvait définir que de " Balai à Chiotte " .
Malgrès ces problèmes et ses problèmes, j'l'aimais ce mec, sa façon d'être et de réagir faisais de lui " Mon enfoiré préféré ".

Mais comme dans chaque vie, c’est ce qui la rend si intéressent d’ailleurs, il faut des éléments perturbateurs …
Pour la mienne, ce fut elle …
En cour d’histoire, assis à côté de mon enfoiré, le prof’ à nous dicter son cour sur la vie de Jésus,  entre en coup de vent, la proviseur et elle …
Elle, 1m60 à tout casser, les cheveux mi court, voir court pour une fille, d’une couleur brun noir, la peau d’un blanc éclatant, les yeux qui partent d’un bleu pour atteindre un brun puis le noir de l’iris …
Toujours habillé gaiement, toujours souriante et joyeuse, des rêves plein la tête et toute une vie pour les réaliser …
Elle, qui bizarrement, m’a vraiment tapé dans l’œil, son sourire, son parfum …
Sur le coup, j’oubliais tout mes principes de vie sans amour, sur le coup, j’oubliais toutes mes conneries de personne tout le temps sur l’ordinateur et j’en oubliais même ma vie ratée d’alcoolique anonyme …
A vrai dire, en la voyant, mon cœur s'arrêta ...
Pendant ne serais ce que quelques dixièmes de secondes, mon corps fut parcourut d'un frisson particulier ...
Comme si, vous vous mettiez à suffoquer dans de l'air pur, de l'étonnement, à vrai dire ...
Mais bien vite, ce sentiment disparut ...
Elle alla s'asseoir, la proviseur partie, mais pas le cour, aussi long soit - il m'avait apporté la plus belle des distractions possible ...
Regarder cette petite chose, qui s'éveille et qui vit ...
Pendant de longs instants, alors que le prof' poursuivait son cour sur son précieux Jésus, lui même née en -3 av. J-C, je me dis qu'elle était un ange tombé du ciel la femme de Jésus vu que l'autre nous blablaté sa vie, histoire de nous prouver que les anges existe, et qu'elle, elle avait pour mission de ruiner mon cœur, de le mettre en charpie et retourner là haut [ Ce qui par la suite, se révéla en partie vrai ] .
Mais sa beauté, tel un cygne éblouissait mes yeux, et cette image si intense, fit fondre dans mon cerveaux, toutes ces idées d'anges pour n'en laisser qu'une, plus réaliste, je vous l'accorde .
Elle était simplement et purement magnifique .
Je dis, à contrecœur ces mots à mon enfoiré de voisin : “ Trop jeune ... ” .
Bien sur que je ne le pensais pas, pas une seule seconde, ou alors, c'est que j'aime toujours les jeunes ...
J'aimais tout en elle, même sa façon de marcher avait quelque chose d'inattendu et en même temps de gracieux, comme si c'était la princesse de mon cœur, je ne pouvait lui trouver de défaut, peut être je l'idéalisais, sûrement .
Mais à vrai dire, elle en avait un de défaut, il est vite résumable,elle m'a aimé .
Je crois que c'était la pire chose qu'elle est faite dans sa vie, je n'ai su que lui apporter chagrin et remords, elle, que je trouvais si parfaite, au bout de deux mois, deux mois magiques, même magnifiques, deux mois qui, après passés laissaire un chaos immense dans son cœur et surtout le miens ...
Puis ce fut cette longue décente aux enfers, d'abords des petites embrouilles de rien du tout, des choses insignifiantes mais qui bon,troublait l'esprit, puis la jalousie, puis enfin, pour finir, le mensonge ...
Depuis elle, je ne veut plus mentir, plus jamais et surtout, pas à une femme, de toute façon, à quoi bon, elle découvrent toujours toute un jour ou l'autre la triste vérité .
Alors j'ai arrêté, je n'ai plus rien dit et j'ai affirmé ses désires ...
Bien sur, j'ai regretté des millions de fois ce maudit jour ou elle m'a dit bonjour pour la première fois, ce maudit jour ou j'ai entendu le son de sa voix mélodieuse qui venait résonner dans les pensées comme l'écho dans la montagne ...
Bien sur, vos amis sont la, bien sur, ils vont font sourire, mais quand au loin, vous la voyez passer, plus belle que jamais, avec quelque chose d'insignifiant, mais de nouveau, différent, coiffure, robe, chemise .
Je vous jure que sur le coup, des millions de façon de tuer quelqu'un vous vienne à l'esprit ...
Alors, comme le son si mélodieux de sa voix s'est transformé en un affreux qui déchirent vos tympans, vous vous mettez d'accords avec elle pour tout arrêter, ne plus se parler du tout, arrêter le massacre, et par pitié, l'oublier .
Plus avant très longtemps, du moins, pour moi, ce fut cinq mois, cinq, très long mois, au bout du quel, la trêve fixée plus tôt fut révolue, la paix par la chantilly on l'a appelé avec enfoiré, une bouteille de chantilly, deux allumés mental, et c'est partis pour repeindre un lycée . Bien sur, cette paix, ne tenus pas, même à la base, elle semblait si fragile et éphémère, son charme faisait toujours effet, ou même pour dire, avait été amplifié, chaque seconde la rendait plus belle et toujours plus attirante, son parfum surpasser celui des autres, mais était aussi très léger et doux, sa voix plus mielleuse encore,sa peau paraissait plus douce, tout en elle changeait, mais s'améliorait .
Si bien que j'en décidit pour elle, pour son bien, de ne plus lui parler, je ne voulais plus qu'elle pleure encore et surtout, plus à cause de moi .
J'essayais de l'oublier, mais bien sur, ça ne fonctionna jamais, quelque soit la personne, quelque soit la fille avec qui j'essayais de focalisait sur elle mon amour, à chaque fois, elle me revenait en tête, entre temps, elle, avait réussie à retrouver l'amour, ce qui, je pense, était une chose qu'elle méritait largement ...
Maintenant, c'est la fin des cours, enfin les vacances ...
Plus jamais je ne la verrais, j'ai réussi à faire en sorte d'aller vivre chez mon père et non plus chez ma génitrice comme c'était le cas jusqu'à présent .
Mais pendant les vacances, en Espagne, je fis la rencontre d'une personne, rencontre, qui m'a apprit que la vie, est toujours belle temps qu'on le veut ...
Elle a réussie à me faire rêver .
Elle, elle qui avait quatre ans de moins que moi, elle qui me disait que le monde est beau tant qu'on le croit .
Elle qui lui ressemblait tant .
Je pense que au fond de moi, elle me sert de substitution, je sais, c'est salaud, mais bon, quand je la vois, j'ai l'impression de revoir mon premier vrai amour ...
J'aurais aimé pouvoir l'aimer comme elle le voulait, c'est à dire, pas du tout .
J'aurais aimé pouvoir ne jamais la regarder de peur qu'elle ne me voye et qu'elle choisisse de partir ...
Mais elle m'a dit ces mots magique, ceux qu'on ne doit jamais prononcer sans être sur, ceux qui, mal dit ou trop dit, perdent tous leurs sens ces deux petits mots magiques, qui créé de temps en temps une sorte de paradis idyllique, ou à l'inverse, un grand vide .
C'est mots, bien sur, pendant la nuit que nous avions passé ensemble, je le lui est ai soufflé dans le creux de son oreille elle, qui avait l'air si reposé, bien, le petit sourire, même si elle dormait à moitié alors que j'espéré complétement, ces mots, je les pensais, mais je ne voulais pas qu'elle les entende, et je ne veux jamais arrêter de les penser ...
Elle, me les a envoyé .
Bien sur, ça change de si elle me les avait dit, mais pour moi, c'était comme une libération .

Bien sur, il ne s'était rien passé entre nous, bien sur, je sais que il ne se passera sûrement rien, mais je me suis rendu compte petit à petit, que j'étais fou amoureux d'elle, cela changeait bien de mes principes ...



Je me rappelais encore mes vieux souvenirs et discutions avec mon enfoiré auquel je disais que jamais, enfin, plus jamais, je ne voudrais aimer, au point de m'en ouvrir les veines et de regarder mon sang couler, dès que tout ne se passé pas comme je le voulais .
Aujourd’hui, j'ai l'impression d'être revenus dans le passé, d'aimer trop fort, beaucoup trop fort, et bien sur, ça la dérange ...
Bien sur, je lui demande de me pardonner, mais de quoi ... ?
Je ne peux pas lui dire un bon matin : “ Désolé, je t'aime trop fort, je vais arrêter de t'aimer, c'est pour ton bien ... ”
Tout simplement, car j'en serais complètement incapable, je ne peux plus m'arrêter de l'aimer .
Maintenant, je sais que je suis foutu, c'est comme la dernière fois, même fin, et pourtant, j'aurais voulu autrement, on rêve toujours de vouloir pouvoir contrôler plus où moins tout, mais en général, ça foire quand même bien vite .
Aujourd’hui j'en ai marre de voir gravé sur mes bras, mes défaites, aujourd’hui, je ne veux plus être rongé par le remords en la regardant, je ne veux plus à avoir à me dire, que si ces yeux magnifiques ont pleuré, c'était entièrement de ma faute, aujourd’hui, je veux rêver, rêver, juste comme avant, fermer les yeux et la voir, ne plus avoir mal, quand je la croise, j'entends sa voix, ou simplement, quand je pose mes yeux sur elle .
Avec son sourire magique, qui pour lequel, je pourait mourir, aujourd’hui, je veux juste vivre .
Marre de tomber à chaque fois qu'on m'éteint le ciel, pour une fois, j'aimerais pouvoir rester sur les nuages, avec elle dans mes bras à regarder les nuages, et toujours, cette idée en tête, toujours, toujours l'aimer .
Car pour moi, elle incarne la perfection et jamais, plus jamais je ne veux qu'elle pleure .
Mais pourtant ...
Elle avait choisie, elle savait qu'elle n'était pas prête, moi non plus, mais j'étais au fond de moi content et en même temps, je ne puis m'empêcher de dire que non, elle avait tort .
Mais comme c'était son choix, par amour pour elle je l'abandonnais petit à petit ...
Enfin, c'est ce que je croyais, mais aujourd’hui, je me rappelle mes messages, toujours cette tendresse envers elle, ce petit “ Je t'aime ” en fin ...
Je me rappele et je me dis que jaimais je n'aurais dû .
C'était vouloir essayer de la contrôler et je n'aurais pas dû, à tout vouloir contrôler, on en perds même le contrôle de sa propre vie .
Je ne suis pas Dieu, jamais je n'aurais dû croire que je pouvais changer sa vie .
J'aurais dû savoir qu'elle même savait se qui était bon ou pas pour elle, mais si je pense comme ça, c'est moi le fautif, ce qui, dans l'absolue, est vrai, mais le savoir me suffis, pas besoin de me le rappeler à chaque seconde .
Je suis responsable de ces pleurs et ces tristesses, aujourd’hui, c'est moi qui doit payer pour ça, aujourd'hui, c'est à mon tour de me détruire, ou du moins, de l'intérieur, aujourd'hui, je me rends compte d'une chose qui m'étonne de plus ne plus, au début, je pensais que ça serrait simple de tout oublier, de tout recommencer, comme si de rien n'était, une sorte d'oublie rapide, une amnésie pourquoi pas tient, et puis voilà que non, chaque seconde, je pense à Elle, je pense à Eux, mes amis, ceux que j'ai laissé derrière moi, ceux que en faite, j'ai un peu lâchement abandonné, en majeur partie à cause de ma génitrice, je l'avoue, mais pour d'autre raisons aussi, bien moins majeures en revanche .
Mais en parlant d'elle, en y repensant, elle est un peu impliqué dans mes erreurs, toujours à vouloir avoir raison, toujours se dire que le monde n'est qu'argent et que celui la est trop cher et rare pour le partager, pour tellement de raisons, que il me faudrais trop de temps pour tous les écrire, et puis après, je vois déjà le topot de sa part, “ Fils indigne ” et tout le reste, genre irrespect, insubordination et je sais pas quoi .
J'crois que, moi, et je suis réaliste, la prochaine fois que je la vois, c'est à son entérement .
Un homme a dit un jour : “ On peut détester quelqu'un à un point extrêmement élevé, mais, il faut être prêt à en subir les conséquences ... Si un jour il lui arrive quelque chose, tu ne devras pas te plaindre de l'avoir toujours ignoré ...”
Aujourd'hui, je crois que je la hais à ce point . Si un jour je retourne là bas, c'est avec une voiture, pour être sur de m'y casser le plus vite possible .
Mais bon, je ne veux pas en parler, un jour, j'expliquerais tout en détail, à des gens bourré set amnésiques tient .
Mais pour cette idée de départ, j'me demande encore des fois, cinq mois après ce choix ...
“ Pourquoi juste, moi j'ai pensé comme ça ... ? ”
Je me dis au fond de moi, que c'est pas la bonne solution, j'aurais pas dû, comme toujours, je suis pris de remords, et j'ai des envies que je ne dois pas réaliser, pour mon bien et celui des autres ...
J'en ai marre de toujours me dire que chaque chose que je fait à des perspectives qui énerve d'autres personnes, ou qui, par plus tard, me rendent triste, ou me pose des problèmes .
“ Tous les choix devraient être bénéfiques, il ne devrait pas avoir du bien et du mal dedans ... ”
Aujourd'hui encore, je me dis que ma vie est triste, et que la seule personne qui peut y changer quelque chose, ne veut pas, ce qui, bien sur, est plus que normal, vu que cette personne, il parait que ça doit être moi .
“J'aurais voulu être son prince charmant, mais je ne suis que moi, avec se petit coeur capricieux qui n'arrête pas d'hurler, qu'il aime et ne veut pas changer ...
J'aurais aimé être autre chose qu'un enfant, qui n'aime pas juste pour la beauté,
J'aurais aimé que mon amour soit moins brûlant, pour que juste, aujourd'hui je puisse t'oublier ...
Depuis quelques jours, j'ai perdu mon beau sourire méchant, maintenant, je me contente de rêver ...
Aujourd'hui, j'ai même pensé à du beau temps, sur mon petit coeur encore tout tremblant,
Car depuis ce jour si troublant, mon coeur se sent de plus en plus chavirant ... ”

C'est dingue, mais bizarrement, une personne parait toujours plus belle au naturelle que retouché des millions de fois par photoshop, surtout, une à laquelle on tient beaucoup, j'ai jamais vraiment compris le truc, enfin, j'sais pas quoi, c'est fou non ... ? Même avec la technologie, on arrive pas à rendre la personne qu'on aime " Plus belle " .
Je fut vraiment surprit de la voir si belle, bien sur, elle l'est toujours, mais j'en ai presque perdu mon faux sourire, un sourire naturel et pur, doux et à la fois entraînant, mais le mal est toujours là et toujours fait .
On ne peut pas vraiment le réparer, on ne peut que l'atténuer, j'aurais aimé tellement de chose de cette soirée, finalement, j'aurais juste eu des ennuis je pense, on espère toujours reconstruire, relever des cendres des choses qu'on aime, mais c'est souvent en vain, deux trois bricolages assemblages qui s'écroulent au premier coup de vent .
D'ailleurs, c'était la première fois, je crois, que j'ai téléphoné quasiment deux heures, c'est long deux heures non ? Le temps d'un film, et pourtant ... Deux heures à lui parler, de tout, de rien, surtout de rien .
Comme quoi, entre mon enfoirée et Elle, j'en ai eu des choses à dire, pour une fois .
Bien sur, je sais que ça me fait mal, mais qu'importe, “ A trop changer, on se retrouve souvent tout seul . ”
J'aurais dû rester moi même, jamais lui dire, les choses comme ça ne doivent jamais être dites sauf si vraiment, on sait que ça va bien se passer, ça devrait rester secret, juste, on fond de nous, on devrait savoir ....
Un jour, un homme a dit :
" Maintenant, je comprends pourquoi un sourire fait autant de bien, de plus, quand celui vous est offert par une personne parfaite dans la plus grande des imperfections ... "
Plus j'y repense et plus je me dis que cette vie est vraiment mal foutu, on devrait pouvoir sauvegarder comme dans un jeu avant de faire un choix de trop grande ampleur, car souvent, sur l'instant, on pense qu'il est insignifiant, mais en faite, il va bouleverser tellement de choses que sur la fin, ça en devient déplorable ...

Ça fait maintenant plusieurs fois qu'on me pose cette question, pourquoi à moi, j'en sais vraiment, rien, car moi, j'ai toujours foiré mes choix, toujours cette question qui revient :

" Dis, comment savoir si c'est [ / c'était ] le bon choix ... ? "

Et à chaque fois je réponds environ la même chose ...

" Pour savoir si un choix et bon ou mauvais, il faut que à chaque fois que tu y penses, tu coeur ne s'arrête pas pendant quelques secondes et que dans ta tête vient s'inscrire en lettre rouge quelque chose du genre : ' Et Merde ... ' ou encore ' Fait Chier ' ... Si il ne se passe rien de tout ça, alors, tu peux considérer que ton choix n'étais pas trop mal, car comme toujours, un choix n'est jamais vraiment bon ou mauvais, il sera toujours nuisible à quelqu'un ... "

Pourquoi toujours se dire que on aurait pû faire autrement, on commence à mettre des " Si " partout, " Et Si j'avais ... "
Et la, c'est la fin, dans ton esprit, c'est la brume, une confusion généralement passagère [ au alentours de minuit une heure du matin le plus souvent ] tu te demandes pourquoi tu as agis comme ça et si ce n'aurait pas été mieux de faire autrement, et plus tu te dis ça, plus tu te perds ...
Si bien que au bout d'un moment, tu regrettes tes moindre faits et gestes, et c'est la que vient le coup de grâce, tu demandes à ce qu'on te pardonne car tu ne savais plus trop, tu étais perdu, mais c'est trop tard, la seule chose à laquelle tu auras droit, généralement, ce sont des injures et des mots qui vont te blesser au plus profond de toi, c'est une sorte de leçon à toi même que tu t'infliges ... Mais, tu te dis que tu la mérites ... cette phrase, j'me dis souvent que je devrais l'oublier, mais tu ne peux pas t'empêcher, c'est plus fort que toi, tu te dis que ça aurait pû ce passer autrement ...

Hier soir, ou plutôt cette nuit ...
J'ai fait une chose vraiment bizarre ...
Elle m'a demandé se que je pensais en ce moment précis ...
J'ai fermé les yeux, bien sur, c'est elle que j'ai vu, et je n'ai plus voulu les ouvrir ...
Mais mes doigts ont commencés à pianoter sur ce clavier du laptop, que maintenant, je connais par coeur, bien entendu vue les heures passé dessus sur les jeux ou autres occupations, même pas une seule seconde d'hésitation ils ont eu, ils lui ont tout dit ...
Tout se que j'avais sur le coeur, tous les souvenirs, tous ces souvenirs, ce qui restent encrés dans ma mémoire, tous ses sourires, cette chaleur, cette joie ...
Mes doigts n'ont pas voulu s'arrêter avant d'être arriver à cette nuit ...
Cette nuit, si magique ... Enfin, que j'ai trouvé si magique ...
Cette nuit ou tout était enfin devenu clair ...
Con, Bête, Simplet, mais Clair ...
Juste, je crois que je l'aime vraiment ...
Bien sur j'ai encore mal, bien sur, Elle me fait mal, bien sur ...
Mais je pense que s'en ai le prix à payer pour son bonheur, bien sur je me demande encore pourquoi je lui est dit ça, bien sur je le pensais, mais vu les circonstances, j'aurais vraiment pas dû, ça nous a fait mal à tout les deux, moi, on s'en fou, c'est un fait, mais Elle, je ne veux pas lui faire du mal ...
J'suis désolé pour tous ça ...
Vraiment désolé ...

Pourquoi ça change notre comportement ... ?
Juste un peu, c'est un fait, mais pourquoi il change ... ?
Pourquoi maintenant, à chaque fois on mon portable vibre, pourquoi, mon coeur lui se prends le luxe de s'arrêter de battre ...
Je voudrais que ce soit une chose comme une autre, pas dans le sens que vous devez penser, je voudrais que ce soit ça, mais je ne voudrais pas en être dépendant ... C'est ce que j'essaie de dire ...
Je l'aime et tout, mais je ne peux pas me dire que chaque seconde ou je l'aime un peu plus, je perds de ma personnalitée ...
Je change, c'est un fait, mais tout le monde change, juste, moi, je ne veux pas, je veux pouvoir rester moi même ...

On m'a dit il y'a déjà quelques temps que les contes de fées commencé toujours par : " Il était une fois " et devait toujours finir par un happy end ...
J'ai longtemps été d'accords avec cette idée ...
Mais depuis qu'on m'a dit que la vie est un compte de fée, j'en doute un peu ...
La vie commence bien par " Il était une fois " mais la suite change beaucoup :
" Il était une fois, une génitrice indigne d'avoir des enfants, et un père responsable est travailleur ... "
Alors si, et seulement si le début est comme ça, je veux bien croire qu'il pourra un jour refléter ma vie ...
Et la fin, le joyeux Happy End que tout le monde adore, les petits enfants et l'amour parfait ...
" Les Happy End ne sont que des histoires qui n'ont pas été fini " [ µSoeur ]
Fin de la réflexion sur ce sujet en attendant, mais, j'aimerais aussi avoir une autre réflexion, pourquoi [ elle est pour toi l'enfoiré qui me regarde toujours d'en haut cette question ] pourquoi, c'est pas nous qui décidons nos choix en amour ?
Tu gères pas p'tin, pourquoi, t'as laissé le libre arbitre à notre coeur et négligé notre esprit, comment, tu peux nous faire aimer certaines personnes qui on ne devrait même jamais parler ... ?
Non pas que ces personnes ne le méritent pas, au contraire, mais pourquoi, tu nous laisse pas le choix, pourquoi, t'as inventé ce truc de merde qu'on appelle " Coup de Foudre " qui laisse trop souvent des bleus au coeur ?
Tu nous fais mal pour rien ... Espèce d'enfoiré .

On m'a dit une chose qui m'a vraiment marqué hier : " Tu as beau avoir un cerveau plus grand que ton coeur, vu que tu n'en utilises que 20 % ... " [ Enfoirée ]
C'est bête mais je n'avais pas forcément pensé comme ça les premières fois, je me disais que forcément, ce n'était vraiment pas bien pour Elle, donc que je devais faire en sorte de l'oublier et de préférence vite .
Je crois que comme souvent, ça ne se passe pas comme on le voudrait, ça a été mon Coup de Coeur de ces derniers temps, ça a été la personne pour qui j'aurais sûrement tout plaqué ...
Bizarrement, malgré tout, je pense que cette personne, Elle l'est encore, je sais que écrire ça ne changera rien, c'est un fait, mais en tout honnêteté, n'est il pas agréable de pouvoir avoir juste un endroit ou l'on est d'accord avec soit même plutôt que de toujours devoir prendre en compte les réflexions des autres, j'en profite Enfoirée, pour avoir une pensée pour toi, qui arrive tant bien que mal à me faire voir certain piège, même si souvent, j'ai forcément envie de vraiment sauter dedans ...
Qui sait ce que je ferais quand même sans toi ?
Mais pour l'instant, j'essaie de ne pas y penser ...
Souvent, je me rappelle les paroles que des personnes que je crois avait une bonne vision des choses de ce monde, souvent, j'essaie de penser comme eux, j'essaie un peu de m'identifier à eux [ Cf : Churchill ] mais souvent, on se rend compte que ces personnes, aussi sages soient elles, ont toutes oubliées un facteur dans leurs belles paroles : " Le Libre - Arbitre ", bien sur, comme ça, ça ne représente rien, mais quand on y pense un peux plus, dans notre tête, tout parait beau est organisé, mais on oublie toujours ce détail, par exemple, pour moi, cette journée si banale, devait dans ma tête, avoir l'air d'un rêve, si bien, que dans la réalité, on est des fois déçut des actions des personnes qui dans notre tête, avait un rôle majeur pour la joie procurée par cette journée ...
Mais en aucun cas, je dis que c'est de leurs fautes, pour une bonne raison, " Trop espérer revient souvent à une grande déception ", bien sur, on dit que l'espoir fait vivre, mais trop espérer, je pense que c'est le vice même de l'homme avec l'avarice et la modestie, en effet, dans ma tête, cette journée c'est passé bien différemment, au point que dans peut être quelques temps, je me souviennes que de la version que j'ai préféré, alors je me dis que c'est là que commence les vrais problèmes, dans ces souvenirs si imagés, doit on se souvenirs des choses comme elles se sont vraiment passées ou comme on aurait voulu qu'elles se passent ... ?
Depuis maintenant quasiment trois mois, [ Et tout le monde sait comment peuvent être long trois mois ] je me demande chaque soir, que dis je, chaque jours voir presque chaque heures ou minutes si c'est bien ainsi que ça aurait dû se passer, si c'est bien ça que je désirais pour Elle, Elle, qui je ne veux plus faire souffrir tellement je l'aime, mais fichtre, je me dis que des fois, on a beau essayé de tourner la page, elle revient toujours, alors on veut la déchirer, mais ça ne fonctionne pas, souvent, elle ne fait que ce plier, alors on se dis que le temps va la rendre illisible, mais c'est faux, alors comme dernier recourt, souvent le plus dur, on réécrit sur la page, bien sur et je pense que c'est normal, on voudrait pouvoir écrire la même chose dessus tellement on l'a trouvé belle, mais on se dit que ce n'est pas une bonne idée, généralement pour les deux, dans mon cas, je pense, juste Elle, alors on essaie tant bien que mal de s'accrocher aux coins de cette page, de griffonner encore quelques mots avant qu'elle ne sombre dans l'oublie, les bons souvenirs sont les seuls choses qui peuvent faire revenir de la corbeille ces genres de pages, alors, souvent on essaie, on espère, de nouveau ce verbe, " Espérer ", et c'est souvent dans une longue décente au enfer que ce finis cette page, qui tellement de fois, commence par un paradis Utopique ...

Vous savez, je crois que souvent, on dit que c'est beau d'aimer, qu'il faut aimer l'autre personne, même si celle ci ne vous aime peut être pas, mais honnêtement, à quoi bon aimer quelqu'un, quand pour elle, nous ne sommes qu'on boulet attaché à sa vie, je crois que c'est ce que je suis, autant, avant je crois que j'étais peut être son amis, une personne pour qui elle pourrait toujours compter, mais là, je crois que au fond, je ne suis qu'un boulet, un bon gros boulet bien lourd, et ben putain, je vous dit que des fois, dans la tête, on a l'impression que le cerveau a trouvé un nouveau jeux, se fracasser contre la boîte crânienne dès que je l'aperçois .
Mais, à vrai dire, il vaut mieux que ce soit lui qui se casse un peu que mon coeur vraiment, je crois que j'en ai marre de tout ça, mais pourtant, à chaque fois que je crois enfin l'avoir enfin oubliée, elle réapparaît, de toute sa majestuosité, de toute sa beauté, de tout le charme dont elle est dotée .
" Dis, pourquoi tu l'aimes ? "
" Pourquoi ? Si un jour le sourire d'une personne arrive à enflammer ton coeur comme un morceau de papier que tu approcherais d'un brasier, je pense que toi aussi, tu comprendrais bien vite que c'est la seule qui a ce pouvoir, et même sans savoir grand chose, ton coeur bat différemment d'avant, alors pour ton pourquoi, imagines que moi, je sais des choses sur Elle, et que Elle, de tout ce que je sais, je l'aime en tant que personne, et mon coeur, Elle n'a pas fait que me l'enflammer, pendant toute une magnifique soirée, Elle la gardé contre le sien et s'en ai devenu un des meilleurs souvenirs de ma vie ... Imagines . "


Mais ça, tu en es impossible, oh toi, qui que tu sois à lire ces lignes, moi n'ayant rien écrit depuis quelques temps, juste à l'instant, relis la dernière ...
Ça fait mal ...
J'vous jure ...
Tu sais, espèce de petit con qui lit, je pensais enfin pouvoir écrire que je l'avais oublié, la bonne blague, comme si je le pouvais ...
Je m'accroche sans ses à des souvenirs et des faux espoir ...
Mais j'ai découvert la guitare ... Rit, rit tant que tu arrêtes de lire, tout me va .
Vous savez, cette chose qui vous fait partir, cette chose qu'on appelle passe temps, très drôle hein ?
Arriver à se plonger dans un autre monde même pendant l'espace d'un morceau, tout oublier je croyais que plus jamais je n'y arriverais ...
Maintenant dans ma guitare, c'est con a dire aussi, mais dedans, quand je joue, c'est NeKo que j'entends, c'est K'roMm qui me chuchote à l'oreille de mots qui apaisent, c'est le Conquérant qui fais des fautes, c'est Framboise et son gros pétard, c'est Maru et ses bisous sur le bras, c'est Jey et sa musique trop forte, c'est ce Sadique Lutain Rose que je voulais aussi oublier, c'est tout le monde qui dans mon coeur prennent une place immense, mais ce n'est pas tout ... C'est aussi Elle que je revoit, la chaleur de ses bras et l'odeur de ses cheveux, c'est cette personneµSoeur qui passe son temps à m'écouter, c'est cette bonne vieille " Mécanique du Coeur  "...
Ma guitare, ça devient peut à peut ma vie . qui me parle, qui a sû être là quand j'en avais besoin, c'est

 

 

Bam, c'est marrant tiens, paradoxal, on gagne une nouvelle vie, on en reperds une autre ?
Le monde s'écroule, heureux de l'apprendre ? Le votre peut être pas, mais le miens oui, c'est marrant non ?
On voit tout qui petit à petit, se casse la gueule, sous nos pied, le sol se dérobe, on cherche à s'accrocher au parois d'un monde qui part en fumé, puis on tombe, noir, froid, glacé même, peur, désespoir, manque, faim, soif, froid .
Puis point blanc, petite lueur, douce chaleur, timide main qui s'avance, petite mort ?
Douce résurrection ?

En quel honneur ?

Enfin, pourquoi pas, une main ? Autant la prendre,, on se sent léger, tiré vers le haut, on remonte un peu, on sors la tête de l'eau, on respire un grand coup, on se sent mieux, on compris pas le comment du pourquoi, mais on est bien, c'est chaud doux, agréable, on a plus fait ni froid, comme si on se nourrissait du Soleil, sensation bizarre et nouvelle, une sorte d'apaisement, on se sent libre, libre, et pourtant pas seul .

On se retourne, on cherche personne, puis on se repose un peu, on ouvre notre coeur, on cherche, tout le monde avant toi a compris le truc, t'es amoureux, mais toi, tu le sais pas vraiment encore, t'es têtu, tu fais " mais non mais non, vous êtes bêtes à tes amis . " tu cherches des excuses mais petit à petit, tu comprends, tu cherche plus, t'es juste bien, et ça te tombe vraiment dessus, uen vrai relation, du vrai bonheur, un sourir au matin en ouvrant les yeux, une paroles le soir pour éviter les mauvais rêves, la chaleur quand on a froid, les larmes, celles de joie .

 

Des moments qu'on créaient à deux, plus tout seul, des choses qu'on veut, d'autre qu'on ne veut plus, le manque, la paroles, la mauvaise humeur, la joie, les projets, les envies ...

 

La vie de couple, c'est beau, mais comme à dit Néko, ça se mérite .

 

 

C'est bizzare non, vouloir quelque chose à tout prix, mais ne pas savoir ce que c'est ?

On avance quand même, on avance, toujours en encore, on sait pas trop vers où, mais on avance, j'aime bien cette citation, je pense qu'elle pourra vous parler : " Je suis le chien qui court derrière cette voiture, mais qui ne sait pas du tout ce qu'il fera s'il parvient à la ratrapper . "

Il nous manque toujours quelque chose, on a toujours besoin de plus, encore et encore, on veut toujours ce qui ne nous est pas accéssible, c'est ça le propre de l'existence pour certaine personne, pour beaucoup de monde en fait .

 

Me voilà donc, plus ou moins très délaissé par les personnes que j'aime, même si celle dont j'ai besoin sont toujours là, c'est un fait et j'en suis heureux, mais délaissé par les personnes auquels on s'accroche, celle avec qui on espére passer un moment de sa vie un peu plus long, fonder quelque chose, pas forcément une famille, faut pas non plus croire au grand amour à chaque fois, ce serait être trop naïf, mais pourtant, l'envie nous prend quand même de construire, mais plus tout seul, c'est lassant, à deux, c'est bien mieux .

Alors on cherche, mais sans chercher, on a tellement mal des choses qui se sont passées, des cicatrices sur le coeur, on ne veut plus se faire mal à tord et à travers, on veut une sorte de paix intérieure, on en a marre de la descente aux enfers qui fait si mal au corps, coeur et esprit, on veux être libéré de tout ça, pouvoir sourir, un vrai sourir, pas un forcé comme tout les matins, quand tout le monde vous demande : " Ca va ? " La phrase, t'y passe pas, c'est histoire de dire quelque chose le matin, paraître polis, mais tu te rend compte à quel point tu serrais dans la merde si quelqu'un vennait à te dire : " Non, ça va pas ... Et alors ? " le problème, c'est ça, " Et alors Rien . ", tu peux rien faire, t'es inutile à un point à peine envisageable, mais pourtant, tout les matin, tu poses la question, et pas qu'une fois, à tout ceux que tu croises, mais bon, il parrait que c'est ça vivre, alors j'essais d'apprendre, j'me fou dans le moule, et tous les matins, en serrant les dents, je demande si tout va bien à tout de monde .

 

Alors même si au fond de toi, ça va mal, tu dis quand même que tout vas bien, question de principe .

 

Voilà donc le début de mon aventure, celle dont je me souviens .

Noël 2009, ceci se passa chez moi, ou enfin, chez Elle comme elle l'a si bien dit, jusqu'à rien en vue, à par peut être une chose minuscule, quelques goûtes d'imprévu, comme toujours, des goûtes au goût suaves, et qui coules, on s'émoustillent à chacune d'elles .
Nous voici venu au temps de nouvelle ans, de la très bonne cuisine, ma soeur, des amis, des ennemis aussi, mais rien de bien méchant, très gentil le tout .
Des fous rires, des monopoly, de la picole, d'ailleurs, en parlant de picole, on dit toujours que boire trop, c'est mal, mais moi, j'dois vous avouer une chose, c'est que cette homme, c'est un pur alcoolo, et tu vois, cet homme, je le considère comme un des plus gentil du monde .

Nous voilà réunis, ensemble, on est heureux, on rigole, on mange, on joue, on chante, on fête, on appel ça vivre, il parait, mais c'est bien connu, les enfants, à table ils font les gentils, et hors de table, c'est des petits diables qui jouent à faire des ballons ou des bombes à eau avec les capotes à papa .

C'est rigolo non, vous avez remarqué comment les enfants, trouvent toujours quelque chose pour s'occuper, et si bien, que quand ils deviennent adulte, ils font pareil, à la différence que maintenant, ils ont hontent, alors la plupart, ils s'occupent à un jeu d'adulte, ils jouent à s'aimer, et surtout, le plus souvent, à plus s'aimer, voir se détester, drôle de jeu quand même, mais bon, c'des trucs d'adultes, nous on peut pas vraiment comprendre, alors tout simplement, comme on le fait si bien, on les imites, on déclare notre flamme, on rêve de se marier, on invente déjà les prénoms des prochains enfants, on s'invente des nouveaux amis, au noms bizarre, comme Jean ou encore Georges, on fait pleins de projets de vacances, déjà la fille s'occupe de faire la cuisine, et le garçon, de s'affaler devant la télé à regarder le foot, on s'aime en gros .

Mais nous, on a réussi à vraiment s'aimer, mais un peu trop à notre façon, à la façon des adultes, celles qu'ils aiment eux, celles des sentiments forts, brusque, maladroits, celle qui fait souvent mal, mais qui au début est très belle .



Puis ma mémoire se trouble, je me souviens d'avoir vécu ... Un peu, enfin, je pense, vu que au moment ou j'écris, je pense encore être en vie .



Mais du moins, j'ai eu le droit à une belle période de trouble, aux mots qui blessent, qui laissent des cicatrices, j'ai eu le droit à ceux qui font froid, qui nous font perdre tout espoir .
C'était là, dans une chambre au début, un grand blanc, un silence, quelque chose de très lourd, puis ça se passe très vite, on change, on arrive dans un salon, le canapé est blanc, la tapisserie est refaite, mais on croirait qu'elle a déjà de lourdes et longues années dernière elle, le canapé est confortable, y'a un fond de musique qui s'est arrêté, le canapé devient dur, très dur, il en fait mal en fait, y'a des piles et des piles de Cd' qui sont entassé dans un coin, au dessus de ta tête, on peut voir le poster géant d'un enfant buvant à la bouteille, une bouteille de vin, et tout a fait de l'autre côté, une télé, une belle télé, mais elle fait de la neige, de la neige, elle tombe, un peu comme ta mémoire, la télé elle cherche un signal, ta tête, elle se demande quand ton cerveau va repointer le bout de son nez, histoire de bien l'engueuler un coût .

Puis de nouveau, ça va vite, comme si on voulait oublier, y'a des choses qui bougent, des actions qui se passent, et c'est comme si le temps filait sans toi, tu es immobile et tout le monde bouge autour de toi, une sensation de rejet du temps, comme si lui aussi voulait te faire souffrir, il apprend à une vitesse fulgurante à se ralentir voir se stopper ou au contraire, à aller vite, très vite .

Puis alors tu t'y fais, tu apprends à revivre avec, tu te dis que ça ira, et que de toute façon, c'est comme ça que ça devait être, alors tu te laisse aller, tu es dans une sorte de coma, mais limite, tu t'en fou .

Puis je sais pas, tu essais tant bien que mal de te relever, t'y arrive, puis tu te casses les jambes de plus belle, pourquoi X ou Y raison, mais tu l'ai à belle est bien cassé, alors tu attends qu'on te tende une main, et très bizarrement, c'est la sienne qui vient te soulever, tu comprends pas, tu sais pas pourquoi, mais sa présence t'es agréable, alors t'arrête de réfléchir avec ta tête tu te rappel que quelqu'un t'as dit un jour : " Ton cerveau à beau plus être plus gros que ton coeur, vu que t'en utilise que vingt pour cent ... " [ Je sais, deux quoi que je la cite celle la ], alors tu remets tout en question, tu te dis que merde, et pour finir, cette main, cette belle main qu'on te tend, tu la prend, et tu la sers comme si ta vie en dépendait, tu sais pas pourquoi, mais tout repose sur cette petite main, une main, rien de plus, comme si elle avait le pouvoir de brandir un doigt et d'appuyer sur le bouton off de ta vie, tu veux pas, alors tu t'accroches .

Et bizarrement, ça te réussie bien, alors tu y reste attacher, mais t'as peur quand même, mais tu reste .

 

Puis forcément, y'a des jours ou tu doutes, alors tu te vides l'esprit, les manières sont aussi diverses que les raisons pour lesquelles tu es troublé, certain marchent, d'autre écoutent de la musique, en font, chantent, dansent, vont à des soirées, boivent, cuisine, font du sport, tellement de façon de se vider l'esprit, mais tant que tu ne l'as pas fait, les gens autour de toi ont disparus, tu ne sais pas vraiment pourquoi mais ta tête les as transformer, la plupart du temps, ils ne sont plus vivant, et en général, ils ressemblent à des poireaux .
Tant que ta tête n'aura pas fait le vide en elle, ces poireaux resteront tel quel, sans moyen de changer .

Alors tu fais ce qui te reste à faire, tu t'isoles, ça peut durer de quelques secondes, à des journées entières, et tu es la, et ta seul occupation, faire le vide .

 

 

Te voilà maintenant coupé du monde, tu arrives un peu à pouvoir penser à toi maintenant, t'en ai plutôt content d'ailleurs, malgré que dans ta tête, y'a un bordel et des tonnes de questions sans réponses, tu te sens mieux .

 

 




Quelqu'un m'a dit un jour :
" Savinien je suis triste. La vie est belle, c'est toi qui me dit toujours ça.

Après on avait des rêves et des espoirs qui partent en fumée, mais c'est rien parce que t'es en vie, t'as la chance d'avoir des gens autour de toi, tu peux apprécier la vie tout simplement a ta façon. Après quoi qu'il arrive, les cicatrices bah elles s'effacent ou elles s'atténuent, avec plus ou moins de mal peut être.

Sur le coup, comme tu dis, ton monde s'écroule mais d'un coté ça laisse de la place pour en reconstruire un nouveau ?

C'est un peu comme quand tu pars en vacances [ Très longue en quittant tout ], bah d'un coté c'est un peu pareil, tout s'écroule, t'as l'impression de plus rien avoir, alors tu vas te réfugier ailleurs, le temps de te reconstruire un nouveau monde . "


C'est ça la clé, se réfugier ailleurs .

Mais à quoi bon, alors on remet en doute tout ce qu'on connait, on cherche, longtemps, on repense à tout, et finalement, on se rend compte que ça vaut pas le coup, alors comme c'est venu, on se sent mieux .

Enfin, pour mon cas, j'ai eu je dirais, un peu de chance quand même, un sorte de coup de pouce qui venait de je ne sais trop où, mais bien appréciable en tout cas .

Puis c'est denouveau une utopie, mais cette fois si, c'est pas une imaginé, c'est juste la réalité, tout ce déroule comme on en a envie, chaque fait et gestes peut être bon, aucun choix n'est mauvais, aucune alternative le rêve .

Te voilà, l'utopie est belle, elle tient la route, elle avance, tu te sens bien, apaiser, tu passes ton temps comme il vient, tu as confiance en l'autre, le temps passé est bon, tu es presque heureux, tu avances petit à petit, tu fais des projets, peut être qu'ils ne sont pas majestueux, mais ils tiennent la route et c'est de principal, tu les réalises, tu es content, pour une fois tout ce passe bien, et ce temps n'a pas l'air éphémère, alors juste, tu en profite, tu abuses de tout les vices, même si tu sais que sûrement ça te retombera dessus, alors tu attends, la vie suis son cours tout simplement .

 

 

23.11.2010



OooooOooooOoooohhh
Ca fait bien quelques temps que rien n'a été écrit ...
Dernière mise à jour ? Le 8 Septembre 2009, a ouais, quand même ...

Si j'fais le coup de celui qui avait rien a dire, ça passe hein  hein ?
Pas trop ... Bon d'accord, alors on va faire le coup du ... A ouais nan, carrément trop pas ? Le coup du rien ... ? P'tin, ça va être chaud à faire comme truc j'trouve, genre vérité vérité ... Oh la vache, ça promet, enfin, on va jouer le jeu, c'est le cas de le dire .



Ma vie est un jeu, et de mémoire, l'a toujours été ( dingue me direz vous hein ), je suis née comme la majorité des personnes qui viennent en ce monde, je dirais d'une mère, qui elle même s'était fais engrosser, et je dirais aussi comme la majorité ( haha, je rigole, même si pour certains, réel, sorry ) sur la banquette arrière d'une voiture par un mec qui avait besoin de se vider les burnes, née sans complications, ou du moins, parait il, malformation des doigts, ils tendent en équère un peu assez dégoutant pour certain, pour d'autre juste différent, différence, quel beau mot. J'écris aujourd'hui, jour de mes dix huit ans d'après le calendrier Grégorien, j'écris sans aucune raison, si ce n'est vider mon esprit de temps a autre, ou laisser une trace de certaines des pensées qui sont passé dans un bout de ma tête. Héhé, vous avez vu comment je suis un boss du changement de sujet ? Ca aussi il parait que c'est de nature, chacun ces problèmes non ? Bon, j'm'égare.

Née, donc, comme tout le monde, ensuite, je dirais aussi comme tout le monde, la vie qui suit son cours, un peu obligé, sinon c'est la mort, et comme dirais si bien une personne " La mort, ça craint " ( Où la virgule est très importante ), ça aussi ça tient depuis toujours, le besoin de citer quelqu'un toute les trois phrases, ça évite de se planter dans les mots ou de perdre ces idées, pour le prouver, une autre citation, celle ci vient de American History X, film que je conseil aussi à pas mal de monde : " Pour finir un devoir, mon frère dit toujours de mettre une citation, mais comme on est souvent trop con pour en créer une correct, autant carrément en piquer une à quelqu'un qui en a fait une belle, et qui nous arrange bien. ", une citation c'est parfait car c'est quelqu'un dintéligent qui l'a fait et donc on peu pas dire que c'est nul ce que vous avez dit. Mais là, je m'égare aussi beaucoup je crois, mais ça me permet de tomber sur un autre de mes traits, impossible, ou alors vraiment très difficile, pour une personne normal de me parler sérieusement, très peux de personnes que je ne considère depuis longtemps comme n'étant plus normal, vu que l'on appel ça des amis très proches, et encore, certains de ces derniers n'arriveront jamais à avoir une vrai conversation avec moi, avec une raison simple, aucun intérêt de savoir des choses, on peut être bien avec une personne sans pour autant connaître sa vie complète ( héhé, citation la suite ) " De toute façon j'en ai marre de vos conneries de " je le connaissais pourtant, il a tellement changé, c'est plus

lui là " mais qu'est ce que ça me soule ça, bien sur que tu le connaissais sale cruche, sur un moment de sa vie, un simple moment de sa vie, on ne peut pas connaître la réaction qu'aura une personne devant n'importe quelle situation, c'est vrai, certaines oui, et encore heureux bien sur, mais il y'en a tellement ou l'on méconnait une personne, on ne connait une personne que sur un moment de sa vie, c'est ce qui rend d'ailleurs si passionnant le jeu de la séduction, ou encore celui de l'amitié ... ",aucun intérêt à me connaître moi, il parait que je change trop rapidement, ou que alors justement, je change pas du tout, quel beau dilem hein ? M'enfin, personnellement, m'osef, pensez ce que vous voulez les gens.



En parlant de gens, besoin affectif qu'il parait que ça s'appele, besoin d'une présence ( Héhé, attention, ça commence à sentir la citation ), besoin de juste savoir, que je sers à quelque chose, à quelqu'un, besoin de sentir une utilité à ce que je suis, ou ne suis pas. Louise a écrit, et je crois c'est la citation que j'ai le plus dû claquer depuis que je la connais, mais j'la remets quand même encore, histoire de m'en souvenir vraiment : " Parce-qu'il n'y a pas d'explications. Le besoin de se sentir aimé tout le temps. D'avoir une présence à coté de soi.
Ne pas mesurer la gravité de ses actes. Faire en sorte que l'on s'inquiète . Espérer être aimé. Tu sais, fais comme si de rien était, on leur rira au nez . Crois-moi, j'veux juste que tu sois là. Si tu m'crois pas c'est pas grave. Fais comme si. Sois là. Tu sais, je t'aime. Je comprend pas , mais je t'aime. Essaye de m'expliquer, essaye de me faire comprendre. Même si ça s'explique pas. C'est parce-qu'il te faut une présence a coté de toi. Quelqu'un qui te consoleras, qui sera là. Quelqu'un qui pense à toi. Tout peut fonctionner tu sais, Avec un soupçon de sincérité, d'amitié. "

Tout peut fonctionner tu sais ... C'est ça en réalité, on peut si on veut, c'est pas ce qu'on dit toujours ? Il suffit d'en avoir envie, l'envie, une chose qui me guide aussi plus ou moins, je veux peut être jouer qui sait, jouer pour savoir jusque ou je peux aller en une partie ? Dommage qu'on interdise de jouer avec trop de chose, dommage, mais c'est une bonne chose tout de même, j'ai arrêté le jeu depuis maintenant quelque temps, et dingue, c'était même pas une drogue pour moi, je pensais que si, une dépendance et tout, mais en fait non ...



La drogue, aussi quelques choses qui m'anime en fin de compte, un drogué à temps plein, comme dis avant, besoin de gens, peut être la plus grande de mes drogues, puis suis après le sucre, le café, la Manzana, le Pastaga, la musique et bien sur, ce petit bidule sur qui s'occupent mes mains, la drogue hein, pas bien non, j'ai déjà tenté deux trois sevrages, certains forcé, d'autres non, mais en réalité, comme tous les drogués, j'ai pas vraiment envie de me passer de ces drogues, ont dit bien " Tant que tu peux les avoir, pourquoi tu peux t'en priver, on ne vie qu'une fois non ? ", alors tu aquièsses non sans te dire que c'est pas forcément une bonne chose, puis tu te prends un shoot en pleine boire, allez, c'est la fête ce soir, on sort les bonbons haribo et le Pastaga, j'viens d'avoir dix huit ans, ça se fête ce bordel ( ou pas tiens), tiens j'y pense, autre drogue, l'écriture, je l'avais presque oublié tiens, m'enfin, passons.





Bon j'en suis ou là ? A oui, enfait non, je sais plus. Me connaître ? Aucun intérêt, ou si il y'en a un il doit être minime.



Le rejet de sa personne fait aussi partie de moi, je ne m'étendrais pas trop sur le sujet, je ne m'aime pas, et pourtant j'ai tout pour faire le contraire, et oui, je suis un sexe symbol, un dieu au lit, grand, extrémement mince, très drôle, affectif, charmant, gentleman, à l'écoute, et j'en passe des meilleurs, tout de l'homme parfait, la vie et injuste quand même, pour vous autre, tous les autres hommes ... Haha, foutaise, je suis rien de tout ça les gens, faut arrêter la déconnade, je suis le reflet du monstre qui m'abrite et que certaines personnes s'amusent à réveiller de temps en temps, malgré les nombreuses mises en garde, une sorte de bombe à retardement, et autre jeu, à quel moment va t elle péter ? Certaines personnes qui me connaissent vont dire jamais, d'autres qui me connaissent aussi vont dire l'inverse, bientôt, mais maitenant, la question est de savoir qui a raison ... ? Personne, je n'exploserais pas maintenant, mais pas jamais non plus, le retardement attends le pire momement, celui ou la situation sera critique pour tout le monde, pas forcément celle ou mon corps à l'unisson de mon âme déclarera le ras le bol général, juste comme dirait quelqu'un " Sinon, [ ... ] Boum . ", après une autre question qui celle ci est pour moi même. Ai je envie qu'elle explose, et sur qui, elle doit blesser, ou est ce juste un test comme beaucoup de choses que j'entreprends, un simple test, ou sont les limites qui vont me stoper ? ( Thx dad' )



Héhé, mes limites ? Une bouteille de Manzana, ça suffit pas, joint sur joint, pas tellement non plus, nuits blanches sur nuits blanches, pas non plus, même si je dois admettre que suivant la / les personne / personnes avec qui je les fais, ça peut effectivement suffire, mes limites hein ? " Prends moi et joue de moi, tu sauras ", j'aimerais bien la sortir à quelques connaissance, mais soit ce serait déplacé, soit complètement immoral, oh oui, et puis pas l'envie en fin de compte, et la seule personne a qui j'ai envie de le dire connait mes limites, peut être même mieux que moi, dommage hein ?



" Parle moi, écris moi, regarde moi, apprends moi, mords moi, prends moi, aime moi ... " Peut être un peu égoïste tout ça, même si ça aussi ça fait partie de moi, la radinerie aussi d'ailleurs, manque de temps flagrant, impossibilité parfaite de pouvoir consacrer du temps à certaines personnes, qui pourtant, de temps en temps, le mérite largement, mais le temps est peut être la chose la plus précieuse que j'ai, et comme vous l'avez compris, l'égoïste et la radinerie qui s'incarne en moi fait que je le partage que avec très peu de personnes. Mise à par ce sujet, je suis pas si radin que ça, juste, je hais utiliser quelques centimes pour une personnes autre que moi & ne fais jamais de cadeaux à d'autres personnes que moi même.



Je crois que j'ai plus ou moins fait un petit tour des choses, cet article éxiste depuis maintenant pas mal de temps, voir même, vraiment longtemps, de souvenir ( bon ok, j'ai triché [ trait aussi faisant partie de moi tiens ] j'ai vérifié sur l'ancien nuage, qu'il est mignon de s'ouvrir encore pour moi ), je dirais le cinq mai deux mille huit, le cinq mai, allez savoir pourquoi cette date d'ailleurs, sûrement une coïcidence.



Ps : Tricherie, je triche avec tous les jeux que j'entreprends, ou au mieux, ne triche pas mais déforme certaines choses, quel beau jeu, mais aussi arrêté, sauf pour quelques très très rares sujets.



Une suite un autre jour, pour le moment il est 5h36 exactement, d'autres choses à faire, comme souvent, en manque de temps.

J'vous aime les gens. 





" Seul, sous son saule pleureur,
Solaar pleure . "

 

 

Je ne sais pas si quelqu'un lit ces lignes, à la limite, je me dis que je préférerais pas, mais bon, ça me fait tellement du bien d'écrire à mes pensées ...

Alors, je ne peux m'empêcher de continuer ...

" Ecrire pour exister . "

 

MAJ le 06.03.2010, très tard, ou trop tôt, les deux sont plus ou moins vrai en réalité.

 

Désolé .

Histoire, très très coupé, un jour peut être remise totalement, ou simplement supprimé .


Moi-copie.png

 

 

 

 

 

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24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 20:52

Bonsoir.

 

Voilà, c'est bien, continue

 

Vous allez bien ?

 

Nan, nan, ne t'arrête pas, vas y

 

Pour de vrai, je vous ai manqué ? Car j'ai quand même un peu de mal à y croire ...

 

Calme, tranquillement, prends ton temps

 

C'est sombre, y'a de la poussière ici un peu non ? Ca fait combien de temps qu'il ne s'est rien passé ? On dirait les vieux placards à balais oubliés, un peu comme ceux qu'on a dans une maison, mais sans savoir leurs existences, ou l'on tombe par hasard un beau jour devant, presque intrigué par sa présence, généralement investis pas les araignées depuis déjà bien longtemps morte d'ennuis. Des magazines qui sont, d'après leurs couvertures de papier glacé recouvert de poussières, d'une autre époque, un vieux plumeau à toile engourdis et le bois à nu, craquelé par endroit. On dirait ce genre d'endroit ici. C'est Evy qui appelé ça son placard non ? Comment tu vas, ça fait tellement longtemps qu'on s'est même pas juste adressé un simple bonjour ?

 

Tu dérive, c'est pas forcément une bonne chose, reprends tes esprits un minimum

 

Je viens de me couper les ongles, j'avais oublié à quel point c'était difficile de taper avec les ongles long, on a l'impression qu'ils rayent les touches et nous empêchent d'écrire, une entrave en quelque sorte. J'ai ouvert photoshop aussi, ça faisait longtemps, je connais encore les trois quart des raccourcis et pense me souvenirs des bases ... Pense. Je vais me couper les cheveux, non c'est pas une blague, c'est vrai ... Croyez moi, je mens pas, ça fait longtemps que j'ai arrêté, trop de mauvais souvenirs, je vais les couper, demain, toute à l'heure, je sais plus, à 14h, elle s'appelle Amélie, je vous ai dit qu'elle s'appelle Amélie ? Non ? Ben maintenant vous savez, elle s'appelle Amélie, bien sur la femme qui va me couper les cheveux, qui voulez vous que ce soit d'autre ? Des fois vous me déconcertez les gens.

 

Pourquoi tu raconte ça toi ? Tu sais que c'est complètement inutile non ?

 

C'est Dire Straits, ça vous dit quelque chose ? Non hein ... C'est vieux comme tout, d'ailleurs s vous voulez savoir, quand mon père à commencer à travailler, c'était pour devenir les techno son, puis au final il est devenu ce qu'il est aujourd'hui, plus grand chose, une fleur fané avec une belle poire de nostalgique. A oui, c'est Brothers In Arms, ça aurait bien pu être Telegraph Road, mais là on en aurait eu pour la soirée, alors on évite, même si elle est plutôt belle.

Au final on est pas allé au ski, c'est un peu dommage, but well, c'est pas non plus un soucis, comme dit, on va pas en mourir. Ca fait combien de temps que je me suis pas connecté sur msn ? J'ai même pas répondu vraiment au mail, je viens de me rendre compte à quel point je vous délaisse et m'éloigne de vous les gens, c'est un peu abusé je trouve, le mieux, c'est que je suis sur que vous m'en voulez même pas vraiment, c'est ce que j'aime bien d'ailleurs, le fait de savoir que malgré tout, si il y'a un soucis, vous resterez là pour la plupart, c'est une sensation quand même agréable lorsque l'on y pense.

 

Tu pars dans un méli mélo de choses sans réel importance, tu le sais non ?

 

Oui

 

Bon ben si tu sais, temps mieux

 

J'ai gardé un bracelet couleur argent que j'ai eu à la piscine passque moi j'suis VIP, et ouais, carrément. Il est moche, il sent la javel, le chlore et le plastoc pas cher, mais je le garde, je sais pas si c'est car je suis un peu limité mentalement, ou si la dessous se cache une raison sous-jacente interne vital à ma santé physique et morale, c'est un des longs débats que j'ai essayé d'entreprendre cette nuit au lieu de sombrer dans une sorte de coma médicamenteux pour grappiller quelque secondes de sommeil; peut être, bien mérité. Je me rends compte aussi que les draps jaune, c'est pas vraiment beaux de bases, mais alors déchirés, c'est carrément moche quoi.

 

T'en a pas marre de parler pour rien ? T'espère qu'ils continuent à lire tes conneries encore combien de temps exactement ?

 

T'as vu la cité des anges toi ? J'avais bien aimé moi, y'a certains passages qui laissent à rêver tout simplement, même si pour être honnête, j'avais pas vraiment aimé le film original ( Les ailes du désirs ), même si il avait eu de belle critique, il faut le reconnaître. Et toi, tu sais comment décrire les sensations que tu ressens en croquant une poire ? Non ? Dommage ...

J'ai l'impression d'avoir grandis, j'aime pas, j'aimais bien la naïveté, la niaiserie, je suis au début de ma vie, avec l'impression d'avoir vécu la plupart des choses possible, j'attends, mais combien de temps je pourrais simplement ? Quelqu'un vous a déjà offert un recueil de contes érotiques de Noël ou je suis le seul à qui s'est arrivé ? Ah ? Faut pas en parler là, bon d'accord, me tais alors. Une chose relativement dingue, l'égoïsme qu'on a en pensant qu'on est les seuls à avoir vécu certaines choses, penser qu'un autre personne ne peux pas comprendre notre joie ou tristesse. J'en ai connu des gens ( et ouais, je suis vieux et con, j'ai le droit de dire ça, cqfd ) qui pensent encore que le plus beau jour de leurs vie est le moment ou ils ont eu leurs résultat de bac ou leurs permis, j'aurais envie de leurs dire que c'est dommage en quelque sorte, but well, si c'est ce qu'ils pensent, je vais pas leurs dire grand chose de plus non plus quoi, y'a tellement de fois ou je me rends compte que des moments qui se passent, paraissent juste magique, irréel, ou carrément, hors de la réalité, des fois même on ne les envisageait même pas une seconde, et qui portant, se révèlent être réel, et même d'un sentiment d'apaisement vraiment très fort, d'émotions ou encore tout simplement se révélant être une cocktail au gout brulant de souvenirs, et d'espoir. Je me rends compte que l'espoir que certaines personnes portent est justifié et même parfois leurs apportent un vrai bonheur, qui ne se cache pas derrière illusions et paroles en l'air. Je me rends compte que la complicité est un des ressentis les plus agréables qu'il soit, et que parfois, même si le jeu laisse place à la rage de vaincre, l'entre aide et certains est à l'épreuve du temps, des autres, et même parfois de eux même.

On a parlé une heure avec là petite, sur l'importance que l'on peut donner à certaine personnes, des choses qui les rapprochent ou celles qui aux contraires ne seront que là pour les séparer, ou que même déguisés derrières des masques de préjugés, duperies, ou mensonges, on peut trouver, rarement, certes, mais il est possible, de trouver la personne qu'on a toujours voulu, ou cru avoir en face de nous pour de bon. Les mensonges ne sont que le reflets d'une personnes trop peu sur d'elle, enfin, c'est la chose que j'ai envie de clamer pour oublier tous ceux que j'ai pu faire et les désastres qu'ils ont pu engendrer.

 

N'oublie pas, tout reste à écrire

 

Laisse moi écrire, plume d'argent sur un papier de soie, encre noire qui coule en fins filets ondulés comme les vague de mes envies. Je me suis rendu compte d'une chose en grandissant, il nous arrive d'aimer une personne, mais de tout notre amour, et la seconde suivante, détester les réactions que cette même personne peut avoir, il est même impressionnant de voir nos sentiments changer comme les feuilles de cerisiers tournent aux grès des vents, après avoir été arraché de leurs branches. De même, une personne sur qui l'on fantasme physiquement dans un terme général peut nous sembler à certains instants, très différent de la façon avec lequelle on la voit le reste du temps, et quelques instants plus tard, redevenir cette muse de beauté que l'on pourrait contempler avec une douce joie, la caressant du regard et l'écoutant respirer. Vagues qui déferlent, brulantes comme deux peaux qui se rencontrent ou parcellées de glace, comme le fond des ressentis que l'on peut avoir certains jours.

 

Et toi, en réalité, ce que tu veux leurs dire, c'est quoi, parce que là j'ai juste l'impression que t'essaies de broder un truc autour

 

Grandir fais mal, ça déchire de l'intérieur, les os s'entrechoquent et provoquent des crissements le long de la colonne, on à l'impression que l'on veut s'échapper de sois même, comme pour oublier qui l'on a été, mais aussi qui l'on va devenir. Être grand, c'est avoir le pouvoir, le pouvoir de faire mal, à sois même comme au autres, être grand c'est faire des choix, en sachant qu'il y'a du mal dans toute les solutions, être grand, c'est quand la phrase " Si il n'y a pas de solution(s), c'est qu'il n'y a pas de problème " n'est plus valable, et qu'on se rend compte au fil du temps, que les choix qu'on entreprends ne sont pas forcément les meilleurs, mais que si on devait choisir, on referait les même, dans 99.9% du temps, ou les 0,1% du temps restant, est le choix de la couleur des céréales pour le petit déj.

Mais malgré tout ça, on se rend compte aussi d'une chose.

On ne peut pas rester des gosses toutes notre vie.

 

C'est tout, rien que ça ?

 

Oui c'est tout.

Au revoir, bonne nuit, joyeux Noël, joyeuse Pâque, le bonjour chez vous.

 

So

 

A non, une dernière chose; je vous aime.

 

& 19.02.2011>20.02.2011

 

 

 

counting_mornings_II_by_alexandra_mainea.jpg

 

23.02.2011

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26 septembre 2015 6 26 /09 /septembre /2015 18:32

Nuage délaissé, plus vraiment l'envie d'écrire, je le reprendrais quand une inspiration ou envie.

 

Bonne soirée les gens, je vous aime.

 

 

 

A la foire au souvenirs

Chloe.png

 

Tiersen - Rue des cascades

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  • : Le blog de Nuage Vert
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