Ici sera entreposé pas mal de choses, mais qui sûrement pour vous, ne seront pas du tout intéressantes, enfin, si le cœur vous en dis, commentez si cela vous parait utile, sinon, je serais vous, je passerais mon chemin sans même m'arrêter, ce que je veux vous présenter, ce n'ai pas le monde, c'est encore moins le miens . " Je vous emmène dans un univers fragile, délicat, où les mots les plus quotidiens parviennent à traduire des sentiments violents et rares . "
Juste pour reposer un peu les yeux, juste pour la beauté des couleurs, pour l'étrange apaisement que ça procure ... Evidemment, les photos ne sont pas de moi, bien entendu . & Grand Corps Malade a dit un jour : " Je trempe ma plume dans l'asphalte, il...
Lire la suiteRéflexion : Maru à dit un jour : " J'trouve ça fou qu'on puisse dire à la même personne, les plus beaux mots d'amour, mais aussi ceux qui font le plus mal . " On dit des choses belles, c'est vrai, on les dit sur l'instant, on les pense, des mots doux...
Lire la suiteIl était une fois un petit papillon, il aimait à se balader de feuille en feuille, mais pas comme le faisait les autres papillons, c'est à dire en voletant entre elles, non, lui, son truc, c'est qu'il aimait faire pleins de minuscules bonds, à la façon...
Lire la suite& Je voudrais commencer par dire que le sujet m'est venu en parlant à Maru, et que je lis un livre très intéressant qui s'intitule " Laisse moi te raconter les chemins de la vie ", qui m'a beaucoup inspiré pour écrire cette article, aussi inutile soit...
Lire la suiteLe bout de ses doigts venaient d'effleurer les touches d'ivoires un peu vieillis, leurs extrémités avaient perdu leurs blancheur éclatante et l'on pouvait voir le brun clair du bois qui commençait à sortir. Ses longs doigts fins craquaient à chaque mouvement...
Lire la suiteDu blanc . Rien que du blanc Une page entièrement blanche . Une très très grande page blanche . Une sorte de plage, avec comme de la poussière au lieux de sable, Ou alors, une sorte d'océan sans fin . Sans poisson, mouette, bateau, sans vie . Du blanc,...
Lire la suiteLe clapotis régulier des vagues berçait son être. L'extrémité seulement de ses pieds dépassaient du ponton improvisé et étaient plongés dans l'eau à peine froide, les poils de tout son corps c'étaient hérissaient, comme si ils étaient déjà conscient de...
Lire la suite" C'est des long fils tel des roseaux, Qui sortent et montent le sur ma peau . Au dessus de moi, un personnage au air de géant, Qui en agitant ses mains, me rend tout tremblant . Mon corps entier ne m'appartient plus, Car son pantin, je suis devenu ....
Lire la suiteEt oui, encore une destruction, encore un moment de blanc, Dans lequel on se retrouve sur soit même, se demandant si on fait toujours les bons choix . Les miens sont fait, je ne veux plus les changer, désolé pour ceux dont le quotidiens en sera troublé...
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