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14 mai 2016 6 14 /05 /mai /2016 00:01
La Plouie : ( Ou Pluie suivant qui qui le dit )


Pour commencer, j'vais dire que je suis un copiteur de sujet, car il a été d'abord traité par Elle avant que je lui prenne, je suis donc punissable de la peine de mort, à bonne entendeur .


La pluie, c'est un petit battement de coeur, régulier, mais à la fois puissant, c'est un son qui peut être à la fois si doux et si dur, la pluie, c'est con à dire, mais ça mouille, mais en même temps, quand c'est juste une sorte de brume plutôt que de la pluie, c'est agréable d'être mouillé ... La pluie, c'est une super excuse pour dire qu'on a froid pour pouvoir se blottir contre les gens qu'on aime, c'est rafraîchissant en été, sauf que des fois, elle est chaude alors c'est carrément pas agréable aussi .

La pluie en hiver, c'est quelque chose de beau car ça devient souvent de la neige, des masses de flocons qui virevoltent dans tous les sens, qui deviennent un hamas de neige, pour en fin de compte, bloquer les bus le matin .

La pluie, elle peut être si froide qu'elle te ronge les os, ta peau a mal, elle picotte au début, puis finalement, tu la sens même plus, ça te rendre dans le cou, et coule le long de ton échine, ça te glace le sang, t'as l'impression qu'il tourne plus dans ton corps, f'in, bon ... Tu vois l'idée quoi .

La pluie, elle s'associe souvent à l'orage, la foudre, le tonnerre, c'est des éclairs qui déchirent le ciel, des bruits assourdissant, on croirait entendre des cris des fois, ce serait comme une sorte de photo loupée où celui pris en photo hurlait de toute son âme pour qu'on en reprenne une ...

La pluie pour certains elle sert à nettoyer les trottoirs pour d'autres à arroser les fleurs, encore d'autre pense que c'est pour pouvoir mettre les trains et les bus en retard, y'en a même qui dise que la pluie, c'est quand Dieu se soulage ... Mais pour moi ... Elle sert juste à créer des arc en ciel, ces lueurs d'espoir dans ce ciel assombrit par les nuages gris  ..

La pluie, c'est un truc qui en général plombe le morale et fait chier le monde, mais en y regardant de près ...
Le bruit souple, léger et régulier de la pluie qui s'écrase puis coule sur la vitre ...
C'est quelque chose de magnifique, apaisant ...




13.05.2009
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12 mai 2016 4 12 /05 /mai /2016 04:04

 

 

Le rire acide au travers de ses dents jaunes et trouées, le sang qui coule comme des ruisseaux pourpres le long de ses veines bleues violettes entrouvertes, les yeux blancs comme un junki sans sa dose, elle avance. Si on la croisait, on ne saurait dire si vivante ou morte. La démarche d'un homme ivre, les gestes désordonnées et des paroles trompeuses qu'on croirait entendre, elle avance le long de cette route de pavés mal alignés. Elle regarde le peux de gens qu'elle croise d'un air supérieur, d'un air qui évoque la pitié, elle avance, lentement. Les gens se cachent à son arriver, les maisons se ferment comme par magie, enchantement, le silence règne, comme si la ville était déjà morte, le vent retient son souffle, on ne l'entend plus respirer, les chats disparaissent et du givre vient recouvrir les quelques fenêtres dont les volés oubliés sont troués.

Elle avance toujours, comme si elle était à la recherche de quelque chose, quelqu'un, elle jette un coup d'œil rapide de temps en temps, comme si il lui était possible de voir à travers les murs des maisons défraichies devant lesquelles elle passait. Puis elle s'arrêta, comme si c'était bon, elle avait trouvé ce qu'elle cherchait. C'était un maison bien banale, une petite maison de campagne comme tant d'autre, on aurait put même dire qu'il s'agissait du stéréotype même de la maison de retraite d'un vieux couple, pourtant, celle ci n'avait pas les volés fermés, comme si d'avance, elle savait. Avançant maintenant comme à taton, elle s'approcha de la fenêtre, le givre ne s'en empara pas, ce qui semblait presque la surprendre, elle s'approcha encore, et colla sa main ensanglantée contre la vitre pour voir au travers, comme l'on fait les soirs d'hiver. Elle fut prit d'une sorte de sursaut. A l'intérieur, on pouvait voir deux personnes, très veilles. Malgré leurs grand âge on différentiait facilement une femme d'un homme, elle était habillé d'une veille robe de chambre rose délavée qui dû être à la mode le siècle passé, ses cheveux rouge-grisonnant formés encore quelques boucles de chaque côté de sa nuque comme par habitude avait laissé une pince dans ces derniers, un peu par nostalgie peut être. Elle n'avait jamais aimé les élastique peut être par goût ou pour être différente, même elle ne le savait plus, ça remontait à si longtemps , on remarquait rapidement ses longues veines qui ressortaient sur ses bras et plus encore, au niveau de ses poignets, des sortes de longs fils d'un bleu profond, ce qui contrastait avec sa robe d'ailleurs. Elle avait l'air presque sereine, ses yeux étaient à demi clos, un peu perdu dans ses pensées, comme si petite à petit, son âme s'effilochait et allait se cacher dans ses souvenirs. Elle était là, à demi allongé dans une position qui avait l'air des plus inconfortable, comme plié en douze, pour avoir une idée. Elle était là, contre lui, il avait un vieux chapeau gris, le genre de chapeau qu'on donne à son petit fils en lui disant, tu verras, un jour tu l'aimeras ce chapeau. Un début de barbe couleur neige se laissait entrevoir de profil, d'où prenait la base d'une longue cicatrice qui lui remontait jusqu'à sa tempe gauche, le long de son cou, une veille bêtise de jeunesse qu'il l'appelait, mais en fait elle représentait bien plus pour lui, c'était sa vie qui y était inscrit en vérité. Ces sourcils avaient presque disparut, comme pour rendre leurs pouvoir à ses yeux, deux billes de verre de la couleur du plus beau des lagons, déjà plus jeune, c'était une sorte de trou noir à pensées, on ne pouvait pas tomber ne pas tomber dedans, c'est comme si l'on perdait conscience, juste, on tombait dedans, mais à la différence d'autre trou, on ne voulait pas les quitter. Plus bas on entrapercevait ses petites lèvres d'un rouge vif qui paraissaient gercés et désagréable au toucher, elles aussi, vestiges du temps passé, il était habillé simplement, une chemise noire dont l'âge paraissait incertain, un vieux jean's troué et complètement délavé. Il avait l'air un peu songeur. Rêveur. Il avait une légère tremblote aux bout de ses doigts tordus, le temps ne lui avait pas pardonné grand chose, l'arthrose le démangeait sans cesse, reste de ses nombreux séjours à l'hôpital, reste de ses veilles années, qui remontent aujourd'hui à si loin. Sa main ou l'on voyait par ci et par là quelques tracent de griffures était allongé, contre la paume de celle qu'il tenait contre soit. Il semblait perdu dans ses pensées, comme si elles l'aspiraient lui aussi, petit à petit. On eu dit qu'elles rejoignaient les siennes, alors on les imaginait, se souvenant, de tout, de leurs rencontres, de leurs projets, de eux. De toutes ces choses qu'ils avaient accomplis ensemble, qu'ils s'étaient dites, leurs premier rire, ces choses insignifiantes pour certains, mais auquel ils accordaient tant de valeur, il se souvenait de sa démarche le premier jour de leurs rencontre, elle se souvenait de son parfum lorsqu'il s'était approché de sa peau pour y déposer un baiser. Il se souvenait de ses cheveux en semi bataille qui lui allait si bien, et elle n'avait pu oublier le col de ses chemises toujours de travers, dans lesquelles elle aimait à s'y perdre. Il se rappeler encore le son de sa voix, lorsque pour la première fois, il l'entendu dire à côté de cette voiture qui l'attendait, un simple je t'aime, elle les soirées au clair de lune, à jouer et ne pas se lâcher. Ils ne purent oublier ni l'un ni l'autre, ce soir, ou leurs yeux se sont mêlés, ou leurs lèvres se sont rencontrés, ou leurs peau se sont croisé, l'espace de quelques instants, comme un provocation. On les voyait sourire, et comme si la pelote de fil s'était vidée, ils n'étaient déjà plus avec nous, et quand elle se faufila par la serrure pour prendre ce qui leurs restait, mais elle ne put rien leurs voler, entre ses doigts clissaient des corps quasiment inerte, mais ne voulant pas se lâcher. C'était comme ça depuis qu'ils se l'étaient promis, rien n'a changé, ils avaient simplement vécu. 

Ensemble.

 

 

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12.05.2010
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11 mai 2016 3 11 /05 /mai /2016 18:52

La passion, l'envie, l'amour, la haine, la rage, la tristesse, la solitude, la gloire, la modestie, la honte, l'amitié, la vengence, la rancune, la générosité, la nostalgie, la mélancolie, la peur, la folie .

Il parrait que c'est ce qui fait vivre les hommes ... Il parrait .


La passion, le fait d'être obsédé par quelqu'un ( ou quelque chose )
L'envie, le fait d'avoir un besoin pour le plaisir de quelqu'un ( ou quelque chose )
L'amour, aimer, quelqu'un ( ou quelque chose )
La haine, l'envie de mal envers quelqu'un
La rage, provoqué par la haine, causé par quelqu'un ( ou quelque chose )
La tristesse, le fait d'avoir mal à cause de quelqu'un ( ou quelque chose )
La solitude, le fait de se sentir seul, être sans quelqu'un
La gloire, être reconnu pour sa valeur par quelqu'un
La modestie, s'aimer, sans l'avis de quelqu'un
La honte, avoir des sentiments de dégout de soit même, mais vers quelqu'un
L'amitié, avoir besoin de quelqu'un
La vengence, le besoin de faire souffrir pour des actes ultérieurs quelqu'un
La rancune, le fait d'en vouloir à quelqu'un
La générosité, le fait de donner quelque chose à quelqu'un
La nostalgie, se rappeler que avant, c'était bien avec quelqu'un
La mélancolie, se rappeler un amour perdu avec quelqu'un
La peur, avoir la frousse de quelqu'un ( ou quelque chose )
La folie, être dépassé par quelque chose, souvent dû à cause de quelqu'un

J'en ai à peine cité quelques unes des choses qui nous font vivre chaques jours .
Tu penses vraiment que tu n'as besoin de personne pour vivre ?





" Dis-leur que tu viens d'un pays, formé dans une poignée de main
Un pays simple comme bonjour où les nuits chantent  pour conjurer la peur des lendemain "

Ernest Pépin


" On est tous l'étranger de quelqu'un,

Jeannot :

Tu leurs diras de raconter notre histoire, dans leur monde libre .
Que nous nous sommes battus pour eux .
Tu leur apprendras que rien ne compte plus sur cette terre que cette putain de liberté capable de se soumettre au plus offrant .
Tu leur diras aussi que cette grande salope aime l'amour des hommes, et que toujours elle échappera à ceux qui veulent l'emprisonner, qu'elle ira toujours donner la victoire à celui qui la respecte sans jamais espérer la garder dans son lit .
Dis leur Jeannot, dis-leur de raconter tout cela de ma part, avec leurs mots à eux, ceux de leur époque .
Les miens ne sont faits que des accents de mon pays, du sang que j'ai dans la bouche et sur les mains ."

Marc Levy, Les Enfants de la Liberté


Très belle chanson :

Mad Wolrd - Gary Jules




11.05.2009
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8 mai 2016 7 08 /05 /mai /2016 23:12

Les règles absolues de la gente féminine classe 2 ( superficielles ) sous classe 2 ( putains ) :

 

 

 

- Tu passeras toujours des années au toilettes / salle de bain, même si tu sais que tu es déjà en retard.

- Tu ne coucheras jamais le premier soir, sauf le premier soir.

- Tu mettras tellement de fond de teint pour cacher tes boutons qu'on te prendre pour Michael J

Jackson.

- Tu mettras toujours un parfum super masculin pour prouver ton pouvoir ou un tellement sucré que tout le monde te prendra pour un gâteau et voudra te manger.

- Tu marcheras uniquement par tout les temps avec des talons aiguilles de 40 centimètre MINIMUN alors que tu ne sais pas du tout comment faire.

- Tu auras toujours avec toi un tout petit sac contenant ta trousse de maquillage et aucune affaire de cours.

- Tu regarderas les autres filles avec un air de dédain et de pitié.

- Tu t'habilleras toujours avec un bas noir quand tu aura un haut bleu, et tu respectera le code couleur de la pétasse de base ( mentionné à un autre chapitre, lire le livre les pétasses et moi pour plus d'information ).

- Tu seras toujours, je dis bien toujours, très bien coiffé, et mort à tout le monde si tu ne l'es plus, direction les toilettes avec une brosse.

- Tu fumeras des cigarettes même si ça te donne un mal de gorge atroce et que tu hais le goût.

- Tu mettras un mini short même si il fait au environ de – 30°C dehors.

- Tu mettras toujours un soutiens gorges noir sous un t-shirt blanc transparent.

- Tu laisseras toujours dépasser le coupe crottes ( string dans le jargon des néophytes ) d'au moins 3 centimètre au dessus de ton jean super moulant.

- Tu te lamenteras toujours de tes ex's pour divers raisons.

- Tu commenceras un régime tout les deux jours pour cause de cellulite abusive, régime qui prendra bien évidement prendra fin devant le pot ouvert de Nutella au petit déjeuné.

- Tu prendras la résolution de faire du sport tout les matins, mais vu qu'il est difficile d'en faire et que ça fait mal, alors il sera stoppé prématurément.

- Tu n'iras pas à la piscine en cours alors qu'un maillot de bain couvre plus de ton corps que la façon dont tu t'habille chaque jours.

- Tu passeras toujours pour une grosse gourde sans cervelle, alors que tu en es une.

- Tu prendras des photos de toi dans des positions qui évoquent un quelconque attribut sexuel.

- Tu créeras et alimenteras ton blog de ses photos.

- Tu nommera chaque jour une nouvelle meilleur ami.

- Tu te tiendras au fait de tous les potins people.

- Tu fantasmera sur Brad Pitt le petit.

- Tu regarderas toutes les séries de télé réalité pour augmenter considérablement ta culture générale.

- Tu n'utiliseras dans ton vocabulaire que des mots monosyllabiques ou expressions diverses et tes conversations ne dépasseront jamais l'âge mental d'un singe de trois ans.

- Tu boiras à t'en rendre malade chaque soir ou tu seras de sortie.

- Tu éprouveras de la fausse compassion pour toute personne te parlant.

- Tu augmenteras la taille de tes cils de deux cent cinquante pour cent pour avoir l'air d'une poupée.

- Tu achèteras de la lingerie chic a prix élevé, tu en prendras soin le premier mois, en la lavant à la main, en sachant qu'au bout de deux mois elle finira en chiffon pour laver les vitres.

- Tu tombera toujours sur des types qui n'auront que pour seul but de te sauter et de profiter de toi.

- Tu auras toujours en permanence ton portable dans la main.

- Tu mettras toute ta vie sur des sites comme FB n'ayant aucune utilité.

 

 

 Finalement, quand tu auras suivis toute ces règles, tu seras enfin une fille parfaitement superficielle.

 

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08.05.2010
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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 23:12

Un simple " hommage " pour une personne qui finalement, manque quand même pas mal, une personne dont le sourire, éblouissant chaque jour ta petite vie, tu vois, cette personne, on a beua dire, elle refflête bien ce vieux proverbe trop connu : " On se rend compte de l'importance des choses que l'orsqu'on les perd définitivement " .

& Pour cette grande dame,
Mémé .

& Pour la tienne aussi si tu le veux bien .


" Finalement, j'crois qu'on s'est tout dis
Tu sais, on a beau dire que c'est fini
En fait, j'pense que c'est l'recommencement d'une vie
C'est tout simplement, ce qu'elle avait envie ...

Tu vois, on dit que peut être, après, c'est rien ?
Mais j'me dis que franchement, pour que tout le monde y aille,
ça doit être quand même plutôt bien

Alors tu vois, moi ça m'travail,
Mais j'me dis que c'est mieux
J'me dis que ça doit être merveilleux
Que tout simplement, les gens sont heureux

Heureux de s'dire qu'ils ne sont plus seul
Heureux car ils ne se sentent plus vieux
Heureux car ils s'en prennent plus pleins la gueule ...

Tu vois, j'sais que ils sont content
Qu'ils profitent de chaque instant
Qu'il se balade comme bon leurs semble
Partout, ils vont, ensemble

Ils sont bien
Ils se tiennent par la main ...
Ils sont paisible ... "
Pigeon Idiot







Bonne chance Chloé .
On fait avec hein ...


« Ce qui me fera le plus bizarre surtout, c'est de ne plus entendre ma mère me dire qu'elle va voir mémé à la maison de retraite et que moi je ne pourrais plus lui dire de lui faire un schmutz de ma part. »
Chloé


07.05.2009
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5 mai 2016 4 05 /05 /mai /2016 00:05
" Car les mots me manquent et qu'ils ne veulent plus de moi ...
J'ai perdu la paroles mes mon coeur restent inchangés
J'ai c'besoin de toi, j'ai ce besoin de ces moments passés
J'ai ce besoin de refaire le monde au creux de tes bras  ...
J'suis désolé, j'ai comme qui dirais les mots d'un nouveau né
Mes phrases perdent le sens mais reste mes pensées,
J'reste assis, dans cette eau ou des iceberg viennent s'former
Des heures , des jours que j'suis dans l'bain à bouquiné
C'est con, mais ça me permet de me libéré ...
Tu sais, cette eau me rappele les nuits sans toi ... Glacé .
J'ai envie d'être avec toi, entendre ton coeur qui bat
D'entendre ta voix, oublier le monde ... Sauf toi ...
J'veux pouvoir me perdre sur ton corps
Et t'entendre parler ... Encore et encore ...

Te lire des histoires de princes charmant
Des vrais, des beaux qui font pas semblant
Te dire que la vie elle est belle
Te conter le monde comme le vois une hirondelle,
J'voudrais t'apprendre à voler
Et ça, rien que par la penser
J'voudrais poser ta tête contre mon coeur
Te dire que je serais là ... Que tu n'as plus à avoir peur ...
J'voudrais pouvoir simplement passé mon temps
Contre toi, te serrant tendrement ...
J'veux juste pouvoir devenir ivre de ton parfum,
J'veux la nuit, pouvoir te prendre la main ...

Tu sais, j'suis là
Comme d'hab quoi ...
Alongé, j'repense à tout ça ...
Enfin, en fait, j'pense juste à toi ...
J'essais de me souvenir de chaque détails
Chaque moment ou tu tennais mon coeur en tenaille
Accroché à un souffle un soupire,
Accroché à ta beauté, ton sourire ...
Chaque mot prononcé par tes lèvres et délices
Chaque secondes sans toi, un tel supplice ...

Tel le Petit Prince de St Exupéry,
Pour oublier mon ennuis ...
Je demande cette fois non pas un mouton,
Je veux plus qu'un simple compagnon ...
Je te veux toi ... Tel que tu es
Car je t'aime ... Mon aimé ... "

Pigeon Idiot





Et un jour, V.Hugo à dit :

" La mélancolie, c'est le bonheur d'être triste . "





04.05.2009


Bon anniv' Evange ^^


05.04.2009
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3 mai 2016 2 03 /05 /mai /2016 18:57

 

 

 

 " Chut. "

Pigeon Idiot

( Un silence tel que si bien même on ne se concentre pas, on peut entendre son coeur qui bat au travers de la poitrine, on peut entendre le bruit saccadé d'une l'horloge rouillé qui compte chaque seconde qui passe, lentement. )

 

 

" Tic-tac, bo-boum. Tic-tac, bo-boum. "

      Pigeon Idiot

 

 " Faut il toujours une raison valable, ou l'envie peut être une raison suffisante ? "

Pigeon Idiot

 

 

L'intimité,un mot de huit lettres pour dire :

« Voici mon cœur et mon âme,tu peux les mettre en pièce si tu veux. »

Pigeon Idiot

 

 

 

 

 

 

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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 03:14

Une volute de fumée ocre s'échappa de ses lèvres en un long filet. Il était debout, une musique douce mais pourtant forte se déplacé dans l'air, il marchait, les pensées aussi embrumées que le bout de sa cigarettes à trois quart éteinte. La cendre rougeoyante tombait en tourbillonnant dans un verre de Martini, il n'avait jamais aimé le Scotch, il avait pourtant essayé, de nombreuses fois, mais le goût de l'alcool était bien trop présent pour qu'il soit agréable, le Martini en revanche était bien plus sucré, et laissait un goût suave dans sa bouche, il l'avait adopté depuis bientôt une bonne vingtaine d'année. Il fête ces quarante ans ce soir. La télé en fond sonore montrait un reportage sur la désinvolture des jeunes d'aujourd'hui, il se souvenait, la mémoire ne lui avait rien pardonné, il se souvenait de chaque instant. Son premier mot fut « encore », il ne se souvient plus vraiment pourquoi celui là, avec le temps il aurait aimé avoir dit « oublie », pour lui se rappeler, c'est subir, bien sur, il avait des souvenirs joyeux, des tonnes, des trucs complètement loufoques, des gamineries de bas étage, il se souvenait de chaque farces, la fois où avec son ami, ils avaient volés les souris mortes du labo de science pour les mettre dans les bacs d'entré de la cantine, il se souvenait, de cette fois ou ils avaient fait une bataille dans chantilly dans la cours du lycée, comme s'ils étaient encore de simples bébés de sixièmes. Il se souvenait son premier grand amour, elle était petite, les yeux marrons qui viraient au gris en passant le bleu, les cheveux court et bien dégagé sur sa nuque, elle était brune, le sourire au lèvres, chaque regard qu'elle lui accordait faisait sourire son cœur. Au début. Il se souvenait se son premier concours et de la peur au ventre qu'il avait, du soulagement en lisant les résultats,  il se souvenait de sa première fois, c'était sur un grand lit, des posters étaient étalés sur les murs, et les draps cette après midi étaient d'un blanc laiteux. Il se souvenait de la couleurs du ciel ce soir là, ou dans ses yeux il lui dit l'impensable. Il se souvenait de ses soirées, à demi ivre sur un canap' les paroles sans trop de sens, mais où tout le monde l'écoutait, il se souvenait de ses écrits, ces nombreuses lettres si tardives et sans trop d'importances. Il venait de se rallumer une cigarette, il laissa s'échapper une longue colonne de fumée et perdit ses pensées dedans. Il se rappeler encore le parfum de cette femme qu'il avait connu un peu plus tard, il était sucré, un peu comme de la grenadine, ou quelque chose comme ça, il se souvenait des tous ces plans foireux, toutes ses soirées qui tournaient au vinaigre pour une raison quelconque, il se souvenait de celui qu'on appelé « Jésus » obligé de l'attacher à un arbre pour décuver car il avait des envies de meurtre. Il se souvenait de toutes ces soirées, à se demander « Est ce que quelqu'un m'attend quelque part … ? », a qui suis je indispensable en réalité ? Qui n'éprouve que de la fausse compassion, qui joue tout simplement de moi ? Il se souvenait de tous ces verres qu'il avait but pour oublier, mais il se souvenait de tout. Il se rappeler de temps en temps ces nuits interminables, son manque perpétuel de sommeil latent , son addiction totale à la musique, au sucre et au monde des odeurs. Tous ces souvenirs étaient là, entreposés dans son crâne, ils suffisaient de souffler sur la poussière pour s'en souvenir, c'est comme tout. Encore une fois des petits bouts de cendre viennent mourir dans son verre, il les remarqua et machinalement, en sortit un propre et s'en resservit un. Et ses pensées y plongèrent. Il se souvenait de ses études, ses premiers jobs d'été, son premier emplois, son premier licenciement, ses rencontres, ses joies, ses peines. La première femme qu'il est vraiment aimé, même si elle était tout le contraire de ce qu'il appréciait en général chez une femme, il se souvenait des mots qui réchauffent le corps, et ceux qui glace le cœur. Il se souvenait de s personnes qui étaient là, à ces côté, le soir de son accident, ou elle perdu la vie. C'était il y'a déjà si longtemps … Il se souvenait de l'alcool dans lequel il s'était réfugié, machinalement, il se leva et fit les cent pas, il tourna en rond quelques minutes, comme si il s'accordait une pause, il regarda le cadre photo posé sur l'étagère du salon, à côté de sa collection de cd, il voyait cette femme qu'il avait aimé si longtemps, le sourire aux lèvres, des étoiles dans les yeux. Une larme s'échappa de son œil et vient se loger au fond de son verre qu'il délaissa pour retourner à ses songes, il se souvenait de ses bras, ces longues étreintes que la nuit prenait plaisir à bercer, il se souvenait de ses peurs, ces craintes. Il se souvenait de leurs projets, leurs vacances sur l'île de beauté à regarder la mer azurée, le doux bruit perpétuel des vagues qui venaient happer leurs chevilles, de son travail, même si son souvenir était assez flou.

Il n'avait rien oublié de sa vie, c'est peut être pour ça qu'il n'avait rien voulu faire de « grandiose ce soir ». Il tourna la tête. Le révolver était là, posé sur son bureau, cela faisait bien deux semaines qu'il n'avait pas bougé, en rigolant, il s'est demandé s'il n'avait pas eu le temps de prendre la poussière. A côté se trouvait une lettre, très simple, elle aussi il l'avait écrite depuis quelque temps, il était résolu depuis si longtemps de toute façon. Il avait pris une veille feuille un peu jaunie et cornue, une veille plume et de l'encre de chine noire, il avait simplement marqué de l'écriture la plus calme qu'il puisse faire « J'aime l'idée qu'après la mort, ce ne sera pas pire qu'avant la naissance. ».

 

 

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25.04.2010

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24 avril 2016 7 24 /04 /avril /2016 02:43

 

Une chambre noir, aucune lumière, pas même un petit point lumineux d'un appareil électronique quelconque.

Ils sont allongé sur la moquette qui s'effiloche comme de longs poils d'un chat angora. Ça fait maintenant des heures qu'ils sont là. Ils se sont réveillé, chacun à l'opposé de l'autre, le dos collé contre le mur de béton glacé dans lesquels ils étaient parqués, la langue de bois, le sang qui boue et la peur au ventre.

L'air était chargé d'eau et d'une odeur forte et nauséabonde, le premier réflexe était de vouloir partir, ils se sont levé en même temps, sans un mot, leurs lèvres étaient comme liées par la peur même plus la force de crier, à taton ils ont essayé de trouver une interstice dans le mur, un semblant de trou, une porte. La peur entravé leurs sens, si bien qu'ils n'avaient pas remarqué ni l'un, ni l'autre, la respiration, les gestes, la présence de l'autre. Puis vient le moment ou, leurs mains chaudes se rencontrèrent sur le granuleux du béton, de leurs deux bouches respective jaillit un cri d'effrois, sans comprendre pourquoi, c'était peut être leurs salut, mais cette chose n'avait rien a faire là, ils comprirent au même moment qu'ils étaient donc deux enfermés, sans savoir, sans comprendre pourquoi. Ce contacte de cette main sur le mur qui avait provoqué tant d'effrois leurs donnait maintenant espoir au fond de chacun. Toujours sans un mot, d'un geste commun, ils se rassirent, chacun d'un côté de ce cube qui leurs servaient de prison. Leurs cœur toujours criblé de peur battaient pourtant moins de travers que toute à l'heure, cette présence les rassurée. Un peu. Puis elle ouvrit lentement ses lèvres, pris un respiration à peine audible, puis les referma. Il entendit jusqu'au bruit de ses lèvres qui se ferment il su tout de suite que c'était une femme, il ouvrit les siennes et commença à parler, il ne savait que dire, alors voulu se présenter « Un, soixante-huit, douze, soixante-dix-neuf, huit-cent-vingt-neuf, huit-cent-cinq, zéro-sept. Voilà mademoiselle, mon numéro. J'ai les yeux bleus, et je deviens gros. J'aime les chiens qui font peur, j'aime les ascenseurs, les tapis roulants, j'aime dire bonjour aux autos qui passent. Je pense à la mort, à la mort, tous les jours.Mademoiselle, déclinez votre identité. ». Puis comme s'il se rendormait, attendait qu'elle parle, il ne dit plus rien, son cœur qu'il sentait battre dans ton son corps s'arrêta.

Elle prit une très légère inspiration, elle ne savait pas vraiment quoi dire, c'était si … Étrange. Alors elle choisit de l'imiter. « Deux, soixante-dix-neuf, zéro-cinq, quatre-vingt-dix-neuf, cent-trente et un, cent-soixante-dix-sept, quatorze. Voilà mon numéro. J'ai les yeux vert, et je deviens maigre. J'aime le bruit de vent dans les feuilles d'un chêne, j'aime les grandes vitres de verre, les vieux trente-trois tours, j'aime écouter les veilles personnes qui parlent de leurs jeunesse. Je pense à la mort, à la mort, tous les jours. ». Une sorte de bulle venait de se créer de cet échange de parole, elle enveloppée ses pensées et bercée son âme, lui se sentait un peu plus léger, il ne se sentait tout simplement plus seul. Un silence s'imposa ensuite. Comme si l'effort que chacun venait de faire avait puiser tout le reste de leurs énergie. La petit bulle qui venait d'être créé commencé à faiblir mais sa présence, aussi petite qu'elle soit, réchauffé l'âme de ses deux occupants, les deux le remarquant voulurent la consolider, si bien qu'au même instant, il sortit de leurs bouche une cacophonie de mots, l'un comme l'autre s'arrêtèrent, puis furent pris d'un fou rire nerveux, mélange de stress et de bien être, sans trop savoir pourquoi, l'euphorie du moment. Puis il la devança et lui dit que par galanterie, elle devait commencé, puis elle se présenta, denouveau. « Deux, soixante-dix-neuf, zéro-cinq, quatre-vingt-dix-neuf, cent-trente et un, cent-soixante-dix-sept, quatorze. Voilà mon numéro. J'ai les yeux vert, et deviens maigre. Je suis complètement perdu dans ma vie, j'avance sans savoir où aller, j'ai ce besoin de quelque chose, sans savoir concrètement ce qu'est cette chose, ni savoir ce que je ferais si je l'obtient un jour. Dès que je m'approche d'une chose qui semble m'être vitale, je la vois qui petit à petit se fane, s'effrite, un peu comme si elle était de sable, d'une fragilité bien trop grande pour que je puisse m'approcher d'elle sans la détruire, alors voilà ma vie, une longue suite de déception en quelque sorte, à chaque fois que je m'en approche, tout s'éloigne de moi pour finalement, me prouver que je suis seule, seule face à tout ce qui m'entoure et qui me rejette … » Elle s'arrêta, ne sût pas quoi dire d'autre, et même, se demandant pourquoi elle disait cela, pourquoi ouvrait elle ses ressentis à une personne qu'elle ne connaissait pas, et de plus, qu'elle ne pouvait même pas voir. A cette idée, les battements dans sa poitrine augmentaient en vitesse, elle sentait le sang monter en elle chaque seconde une peu plus vite, elle sentait son cœur qui  battait non pas dans sa poitrine, mais dans chaque partie de son corps, dans ses pieds, l'extrémité de ses doigts, et pire encore, une chose qu'elle haïssait plus que tout. Elle commençait à ressentir des battements dans ses tempes. Sa respiration devenait saccadée, elle fut prise de vertige, comme si elle venait d'ouvrir son âme à tout ce qui l'entoure, elle se sentait vulnérable.

Il était désemparé par toutes les choses qu'elle venait de lui livrer, pourtant il sentit cette bulle qu'ils avaient crées « ensemble » se désagréger. « Ça ne va pas … ? ». Il entendit pour seule réponse sa respiration qui s'accélérer de plus en plus. « Qu'y a t-il ? Tu as besoin d'aide ? Où es tu ? », il avança à quatre pattes la cherchant du bout de ses doigts qui se perdaient dans la moquette sur le sol, il trouva enfin sa cheville, chastement, il passa sa main sur son corps pour prendre son pouls, bien trop rapide. Il approcha sa joue contre ses lèvres, c'était déjà ça, elle respirait. Il voulut se dégager de son corps mais les mains de la fille venaient de s'agripper le long des manches de sa chemise, elles étaient mouates mais pourtant elle s'agrippait comme si sa vie en dépendait. « Ne pars pas » elle susurra ces simple mots. Alors il s'assit près de son corps allongé, le dos contre le mur, il se sentit soulagé qu'elle n'est rien, mais à la fois cette idée lui parut absurde. Il ne la connait pas, pourtant il avait une sorte de compassion pour elle. Dans son crâne, son cerveau a trouvé un nouveau jeu. S'exploser contre sa boîte crânienne comme un marteau. Il ne s'entendait plus penser, tout s'échapper de son crâne, il haïssait ça, il n'avait plus contrôle de ses pensées, elles s'étaient enfuis, et il ne pouvait pas les récupérer. Il ne pût que dire « Tu m'as fait peur ». Ils restèrent comme ça quelque instant, petit à petit, leurs bulle devient un peu plus grande et plus solide. Tous les mots qu'ils auraient put dire n'avait plus de sens, ils étaient là en silence. Le garçon laissa son corps tomber le long du mur, ils étaient tout les deux, sur la moquette. Leurs mains se rencontrèrent, c'était un source chaude dans se froid ambiant, si bien que leurs corps s'entrelacèrent en silence.

Eux qui ne se connaissaient pas quelques heures auparavant étaient devenu indispensable pour l'autre. 

 

 

24.04.2010

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23 avril 2016 6 23 /04 /avril /2016 16:28
La routine :


Déjà, la plupart du temps, on l'aime bien, ce sont des sortes de petits rituels qu'on s'accorde comme la première cigarette de la journée avec le café, ou qu'on s'oblige de faire, comme se brosser les dents ( quoique, c'est un peu dégueux si on le fait pas, je vous l'accorde ), ces rituels qui rythme nos journées, on essai de les apprécier petit à petit, on essai de " joindre l'utile à l'agréable " comme diraient certains .
Écouter RFM dans sa voiture le matin en s'disant que les musiques qui passent, c'est celles de notre jeunesses ( et oui, le monde se fait vieux quand même ), des plaisirs simple qu'on s'accorde, prendre un café, appeler chaque matin sa " mère " pour lui demander si elle a bien dormis, prendre toujours le matin, les mêmes céréales depuis des années ...
Y'a la sonnerie du réveil, tu te demande si jour, tu pourras le balancer par dessus bords, prendre un flingue et l'éclater, y'a ensuite le rituel de la salle de bain, brossage de dents, coiffure à refaire, un peu de gel par si par là, le déo qui traîne aussi, les élastiques dans la poche, la douche ...
Le p'tit déj, les tartines que t'expédie dans ta bouche, les pancakes, les céréales, les jours changent mais s'enchaînent, tout est pareils .
La trajet tout les matins est le même, les mêmes feux, les mêmes bouchons même, on dit toujours les mêmes injures e matin, la routine quoi ...
La routine, tu la retrouve un peu partout, les mêmes panneaux publicitaires, les mêmes paroles, " La vie est belle le monde est pourrit, on connaît ...

Mais ta routine, tu l'aime bien, c'est un peu tes plaisir quotidien en gros .
T'aime pas forcément tout ce qui la compose comme faire ton lit ou tes deuv's, mais t'aime le soir en rentrant chez toi, allumer ton ordi, rien glander, mettre de la musique et  pas faire grand chose d'autre, t'aime pouvoir te dire que quand tu seras arriver, tu pourras prendre ton harmonica et jouer, après, chacun à sa routine quoi .


 

 

La routine, tu voudrais parfois que des choses s'y rajoute, tu rêves en fait de pouvoir genre, tous les matins de réveiller, tourner sa tête sur le côté, et voir, allongé à côté de vous, une personne dans la beauté, une personne dont le sourire, vous dit que cette journée, elle va pas être si terrible ...
Tu vois, c'est des choses comme ça, tu peux doucement, déposer sur ses lèvres un doux baiser en sachant pertinemment que le soir quand tu vas rentrer, contre elle tu pourras te recoucher ...

Y'a des détails de ta journée que tu voudrais pouvoir mettre dans ta routine, mais t'y arrives pas, la plupart du temps, en fait, tu peux juste pas .


" On s'étonne trop souvent de ce qu'on voit rarement, et pas assez de ce que l'on voit tous les jours "

[ Louise ]

Je pense, que ça c'est sû en partie à cause de la routine, on est tellement habitué à voir certaines choses que cela nous parait, " banal " .
Y'a pleins de choses qu'on pourrait citer comme exemple, rappeler vous genre l'interdiction de fumer dans les bar, pour nous, c'est une chose nouvelle, mais pour la génération qui va suivre, ils se demanderont comment cela à pû exister ?
C'est des choses qui forment la routine ... L'éternel recommencement de chaque journée, des paroles qu'on entend, des infos qu'on peut nous dire, pleins de chose qui en fait dans m'fond, on s'en fou, mais ça alimente la vie, ça nous la fait poursuivre sa route ...



En manque de temps pour écrire une suite, la vie est courte, ne cherchait pas à la vivre en restriction, vivait la comme elle vient, c'est bien plus jouïssif comme dirait quelqu'un .



L'image qui suit et celle d'un artiste que j'aime beaucoup et pour cause, cet artiste fais des photos magnifiques qui expriment à la perfection, les sentiments qu'on veut y placer .
Un grand merci donc à ma petite Maru pour cette photo, comme dit, elle illustre bien .



Routine .


23.04.2009

 

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  • : Le blog de Nuage Vert
  • : Ici sera entreposé pas mal de choses, mais qui sûrement pour vous, ne seront pas du tout intéressantes, enfin, si le cœur vous en dis, commentez si cela vous parait utile, sinon, je serais vous, je passerais mon chemin sans même m'arrêter, ce que je veux vous présenter, ce n'ai pas le monde, c'est encore moins le miens . " Je vous emmène dans un univers fragile, délicat, où les mots les plus quotidiens parviennent à traduire des sentiments violents et rares . "
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  • Juste un petit topo de ma vie, juste ce que d'écrire j'ai envies, des questions sans réponses, des idées qui traînent et s'ennuient .
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